Dans un arrêt, la Cour suprême du Sénégal a annulé le décret présidentiel n°2023-2152 qui procédait à la nomination des membres de la CENA. L’institution judiciaire a ainsi jugé illégale cette décision du pouvoir exécutif, donnant raison aux requérants Maître Abdoulaye Tine et l’expert électoral Ndiaga Sylla.
Cette décision marque un tournant dans la consolidation de l’État de droit et la protection des institutions démocratiques. Les auteurs du recours dénonçaient notamment :
La violation du principe de permanence de la CENA (articles 4 et 7 du Code électoral) ;
Une atteinte aux droits fondamentaux des électeurs (article 5 du même code) ;
Le non-respect des standards internationaux d’impartialité en matière électorale.
Un message fort à l’Afrique
La Cour suprême, à travers cet arrêt, envoie un signal fort : la démocratie ne se négocie pas. En invalidant une tentative d’ingérence politique dans la gestion électorale, elle réaffirme la nécessité de garantir l’indépendance des organes de régulation pour préserver la confiance des citoyens.
Un combat collectif salué
Les requérants ont exprimé leur profonde gratitude envers :
Les magistrats de la Cour suprême ;
Le corps des avocats, dont Me Macodou Ndour, Me Demba Ciré Bathily et Me Moussa Sarr ;
Les médias et la société civile, acteurs clés dans la vigilance démocratique.
Appels aux autorités compétentes
Dans la foulée, les auteurs du recours formulent deux principales exigences :
L’exécution immédiate de l’arrêt afin de rétablir une CENA conforme à la loi ;
La garantie d’élections transparentes, inclusives et libérées de toute manipulation politique.
Ce jugement consacre une nouvelle victoire du peuple sénégalais dans sa quête constante de justice, de démocratie et de bonne gouvernance.
Igfm
Cette décision marque un tournant dans la consolidation de l’État de droit et la protection des institutions démocratiques. Les auteurs du recours dénonçaient notamment :
La violation du principe de permanence de la CENA (articles 4 et 7 du Code électoral) ;
Une atteinte aux droits fondamentaux des électeurs (article 5 du même code) ;
Le non-respect des standards internationaux d’impartialité en matière électorale.
Un message fort à l’Afrique
La Cour suprême, à travers cet arrêt, envoie un signal fort : la démocratie ne se négocie pas. En invalidant une tentative d’ingérence politique dans la gestion électorale, elle réaffirme la nécessité de garantir l’indépendance des organes de régulation pour préserver la confiance des citoyens.
Un combat collectif salué
Les requérants ont exprimé leur profonde gratitude envers :
Les magistrats de la Cour suprême ;
Le corps des avocats, dont Me Macodou Ndour, Me Demba Ciré Bathily et Me Moussa Sarr ;
Les médias et la société civile, acteurs clés dans la vigilance démocratique.
Appels aux autorités compétentes
Dans la foulée, les auteurs du recours formulent deux principales exigences :
L’exécution immédiate de l’arrêt afin de rétablir une CENA conforme à la loi ;
La garantie d’élections transparentes, inclusives et libérées de toute manipulation politique.
Ce jugement consacre une nouvelle victoire du peuple sénégalais dans sa quête constante de justice, de démocratie et de bonne gouvernance.
Igfm