Alors que le gouvernement a présenté sa Loi de finances modifiée pour 2025, le député Thierno Alassane SALL critique une politique budgétaire qu’il considère comme « déconnectée des réalités sociales ».
D’après lui, la dette publique atteindra plus de 10 200 milliards de francs CFA dans deux ans, sans pour autant engendrer des conséquences palpables sur l’emploi, le coût de la vie ou les services publics. Il critique également une administration qui privilégie les intérêts politiques au lieu de se concentrer sur les priorités nationales.
« À l’annonce de la Loi de finances rectificative, le Sénégalais qui trime espérait sans doute entrevoir la fin de son calvaire. Les chiffres de cette LFR sont implacables : la dette va s’envoler à 5 715,5 milliards en 2025, soit un cumul de 10 207 milliards en deux ans au crédit du nouveau régime. Et tout cela sans effet ni sur le chômage, ni sur le coût de la vie, ni sur les étudiants, ni sur le monde rural, ni sur l’emploi des jeunes, ni sur les infrastructures, ni sur la santé et le bien-être collectif. Pendant ce temps, les néo-apparatchiks se gavent de fonds politiques, financés par la dette, les prix à la pompe élevés, les denrées de base hors de portée et les sacrifices imposés aux Sénégalais », déclare Thierno Alassane SALL.
walf
D’après lui, la dette publique atteindra plus de 10 200 milliards de francs CFA dans deux ans, sans pour autant engendrer des conséquences palpables sur l’emploi, le coût de la vie ou les services publics. Il critique également une administration qui privilégie les intérêts politiques au lieu de se concentrer sur les priorités nationales.
« À l’annonce de la Loi de finances rectificative, le Sénégalais qui trime espérait sans doute entrevoir la fin de son calvaire. Les chiffres de cette LFR sont implacables : la dette va s’envoler à 5 715,5 milliards en 2025, soit un cumul de 10 207 milliards en deux ans au crédit du nouveau régime. Et tout cela sans effet ni sur le chômage, ni sur le coût de la vie, ni sur les étudiants, ni sur le monde rural, ni sur l’emploi des jeunes, ni sur les infrastructures, ni sur la santé et le bien-être collectif. Pendant ce temps, les néo-apparatchiks se gavent de fonds politiques, financés par la dette, les prix à la pompe élevés, les denrées de base hors de portée et les sacrifices imposés aux Sénégalais », déclare Thierno Alassane SALL.
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