Comme à l’accoutumée, depuis l’instauration du couvre-feu, la circulation se densifie à moins d’une trentaine de minutes de son entrée en vigueur dans la capitale du “pays de la Téranga”. En voiture, à moto, en tricycle, à vélo ou à pied, chacun se hâte pour rejoindre son domicile ou son lieu de travail.
Comme vous le voyez sur ces images, le patron des limiers à Dakar, vieux routier de la Sûreté nationale, ne conçoit pas sa mission “en poste assis” dans un bureau climatisé en train de donner des instructions à ses collaborateurs des différents commissariats de la cité.
Muni de son talkie-walkie qui ne le quitte presque jamais, le commissaire central, Elhaj Cheikh Dramé, descend constamment sur le terrain aux fins de traquer les infractions au couvre-feu imposé pour enrayer la flambée de contaminations au Covid-19
Pour s’assurer du respect du couvre-feu, le commandant des limiers de Dakar initie des patrouilles pédestres et motorisées avec sa troupe chaque soir à partir de 21H jusqu’à 5H du matin.
En divers endroits, particulièrement au populeux fief qui a vu naitre tant de sommités dont Youssou Ndour (la Médina), l’ex patron de la Sûreté Urbaine, a pu observer la présence dissuasive de ses hommes dans les rues. Ces derniers ont reçu pour consignes d’interpeller tout individu pendant l’heure du couvre-feu, exceptés ceux-là (avocats, journalistes, forces de l’ordre, toubibs...) qui ont des missions d'intérêt général .
Au cours de cette soirée, plusieurs contrevenants, dont deux filles à la fleur de l’âge, sont tombés dans la nasse des éléments disciplinés, disponibles et conscients de leur mission sous la coupe du commissaire Sow de la Médina.
Et Dramé en profite pour galvaniser ses troupes non sans rappeler notamment à ceux qui sont dans le panier à salade qu’ils se doivent de respecter scrupuleusement les mesures arrêtées en matière de lutte contre la propagation de la maladie à coronavirus COVID-19.
Puis, il regagne sa caisse teintée avant de se perdre dans les rues et ruelles de Dakar.
Au clair de lune et dans un silence de cimetière, “Dra”, comme on le surnomme, poursuit sa patrouille tout en coordonnant avec les différentes équipes en ronde et/ou en check-point dans plusieurs secteurs et quartiers de la métropole Dakaroise.
En tous les cas, chapeau bas aux forces de l'ordre, particulièrement aux limiers de Dakar. Qui, par on ne sait quelle alchimie, ont réussi à faire respecter la "Saison 2 du couvre-feu", mais aussi préserver l’ordre public, lutter surtout contre les violences urbaines et dissuader les rassemblements sur la voie publique...
njaydakarposte@gmail.com
Comme vous le voyez sur ces images, le patron des limiers à Dakar, vieux routier de la Sûreté nationale, ne conçoit pas sa mission “en poste assis” dans un bureau climatisé en train de donner des instructions à ses collaborateurs des différents commissariats de la cité.
Muni de son talkie-walkie qui ne le quitte presque jamais, le commissaire central, Elhaj Cheikh Dramé, descend constamment sur le terrain aux fins de traquer les infractions au couvre-feu imposé pour enrayer la flambée de contaminations au Covid-19
Pour s’assurer du respect du couvre-feu, le commandant des limiers de Dakar initie des patrouilles pédestres et motorisées avec sa troupe chaque soir à partir de 21H jusqu’à 5H du matin.
En divers endroits, particulièrement au populeux fief qui a vu naitre tant de sommités dont Youssou Ndour (la Médina), l’ex patron de la Sûreté Urbaine, a pu observer la présence dissuasive de ses hommes dans les rues. Ces derniers ont reçu pour consignes d’interpeller tout individu pendant l’heure du couvre-feu, exceptés ceux-là (avocats, journalistes, forces de l’ordre, toubibs...) qui ont des missions d'intérêt général .
Au cours de cette soirée, plusieurs contrevenants, dont deux filles à la fleur de l’âge, sont tombés dans la nasse des éléments disciplinés, disponibles et conscients de leur mission sous la coupe du commissaire Sow de la Médina.
Et Dramé en profite pour galvaniser ses troupes non sans rappeler notamment à ceux qui sont dans le panier à salade qu’ils se doivent de respecter scrupuleusement les mesures arrêtées en matière de lutte contre la propagation de la maladie à coronavirus COVID-19.
Puis, il regagne sa caisse teintée avant de se perdre dans les rues et ruelles de Dakar.
Au clair de lune et dans un silence de cimetière, “Dra”, comme on le surnomme, poursuit sa patrouille tout en coordonnant avec les différentes équipes en ronde et/ou en check-point dans plusieurs secteurs et quartiers de la métropole Dakaroise.
En tous les cas, chapeau bas aux forces de l'ordre, particulièrement aux limiers de Dakar. Qui, par on ne sait quelle alchimie, ont réussi à faire respecter la "Saison 2 du couvre-feu", mais aussi préserver l’ordre public, lutter surtout contre les violences urbaines et dissuader les rassemblements sur la voie publique...
njaydakarposte@gmail.com