La réunion du Conseil Paix et Sécurité (CPS), qui s'est tenue à Addis-Abeba le 14 août entre l'Union Africaine et la Cédéao, a été "difficile", "très franche", et "très longue", a confié une source diplomatique africaine à nos confrères de RFI. L'essentiel des débats a porté sur l'éventualité d'une intervention militaire.
"Certains, au sein du Conseil, ont souhaité pouvoir émettre des réserves et demander des clarifications dans la séquence qui pourrait conduire", a poursuivi la même source. Signe des points de désaccords, aucun communiqué n'a été publié à l'issue du Conseil.
Selon un diplomate africain, qui a participé à la réunion, les pays d'Afrique australe et d’Afrique du Nord se sont montrés tout à fait réfractaires à l'idée de toute intervention militaire.
Enfin, la question des sanctions décidées par la Cédéao contre le Niger n'a pas fait consensus au sein du CPS, comme des diplomates africains l'ont expliqué à RFI.
"Certains, au sein du Conseil, ont souhaité pouvoir émettre des réserves et demander des clarifications dans la séquence qui pourrait conduire", a poursuivi la même source. Signe des points de désaccords, aucun communiqué n'a été publié à l'issue du Conseil.
Selon un diplomate africain, qui a participé à la réunion, les pays d'Afrique australe et d’Afrique du Nord se sont montrés tout à fait réfractaires à l'idée de toute intervention militaire.
Enfin, la question des sanctions décidées par la Cédéao contre le Niger n'a pas fait consensus au sein du CPS, comme des diplomates africains l'ont expliqué à RFI.