Selon des informations parues plus tôt dans la journée, “un bus transportant 70 Sénégalais, parti d’Abidjan pour le Grand Magal de Touba, aurait été victime d’une attaque jihadiste près de Diéma, dans la région de Kayes au Mali, proche de la frontière sénégalaise.” Cette nouvelle, initialement attribuée à un responsable d’une association de ressortissants sénégalais de Côte d’Ivoire, a rapidement suscité des préoccupations parmi les familles et les organisateurs du Maagal de Touba, un événement religieux majeur prévu pour le 13 août 2025.
Comme les organisateurs, les autorités policières sénégalaises, surprises par cette nouvelle, ont décidé de faire le rappel des troupes: les chefs de poste frontaliers comme les sources d’informations basées au Mali ont été câblées. Et à l’unanimité, toutes sont formelles: aucun bus sénégalais transportant des pèlerins sénégalais en partance pour Touba n’a manqué à l’appel. Selon M. Samb, le président de l’association des ressortissants sénégalais de Kayes, aucune attaque de ce type n’a eu lieu. L’homme qui se trouve actuellement en territoire malien et à quelques kilomètres de l’endroit supposé de la prise d’otages a fait savoir que si ces faits étaient arrivés il aurait été averti; puisque ce sont les présidents d’association qui facilitent les autorisations de sortie pour chaque véhicule quittant la région, et qu’aucune autorisation correspondant à ce bus n’a été enregistrée..
Comme lui, les commandants des casernes de Djema comme de Kayes interpellés par des sources maliennes contactées par Kéwoulo ont fait savoir que, à leur connaissance, il y a eu 7 véhicules particuliers qui ont quitté le Mali, passant par Kayes pour se re rendre à Touba. “Il y a deux bus et un des véhicule particulier a fait un accident et ses passagers n’ont jamais été menacés puisqu’ils se sont rendus dans un garage pour réparer le véhicule.” A-t-il fait savoir…
La région de Kayes, proche de la frontière sénégalaise, a récemment été le théâtre d’attaques jihadistes, notamment celle du 1er juillet 2025 à Diboli, revendiquée par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM). À l’approche du Grand Magal de Touba, qui attire chaque année des millions de pèlerins mourides, les autorités sénégalaises renforcent les mesures de sécurité. Cet épisode rappelle l’importance de vérifier les informations avant leur diffusion, surtout dans un contexte où la désinformation peut semer la panique.
Kewoulo
Comme les organisateurs, les autorités policières sénégalaises, surprises par cette nouvelle, ont décidé de faire le rappel des troupes: les chefs de poste frontaliers comme les sources d’informations basées au Mali ont été câblées. Et à l’unanimité, toutes sont formelles: aucun bus sénégalais transportant des pèlerins sénégalais en partance pour Touba n’a manqué à l’appel. Selon M. Samb, le président de l’association des ressortissants sénégalais de Kayes, aucune attaque de ce type n’a eu lieu. L’homme qui se trouve actuellement en territoire malien et à quelques kilomètres de l’endroit supposé de la prise d’otages a fait savoir que si ces faits étaient arrivés il aurait été averti; puisque ce sont les présidents d’association qui facilitent les autorisations de sortie pour chaque véhicule quittant la région, et qu’aucune autorisation correspondant à ce bus n’a été enregistrée..
Comme lui, les commandants des casernes de Djema comme de Kayes interpellés par des sources maliennes contactées par Kéwoulo ont fait savoir que, à leur connaissance, il y a eu 7 véhicules particuliers qui ont quitté le Mali, passant par Kayes pour se re rendre à Touba. “Il y a deux bus et un des véhicule particulier a fait un accident et ses passagers n’ont jamais été menacés puisqu’ils se sont rendus dans un garage pour réparer le véhicule.” A-t-il fait savoir…
La région de Kayes, proche de la frontière sénégalaise, a récemment été le théâtre d’attaques jihadistes, notamment celle du 1er juillet 2025 à Diboli, revendiquée par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM). À l’approche du Grand Magal de Touba, qui attire chaque année des millions de pèlerins mourides, les autorités sénégalaises renforcent les mesures de sécurité. Cet épisode rappelle l’importance de vérifier les informations avant leur diffusion, surtout dans un contexte où la désinformation peut semer la panique.
Kewoulo