Le Professeur Abdoulaye Bousso tire la sonnette d’alarme. Le Directeur du Centre des opérations d’urgence sanitaire (COUS) prédit une augmentation des cas communautaires, une hausse des cas graves et éventuellement une courbe ascendante des cas de décès si les mesures barrières édictées par les autorités sanitaires ne sont plus respectées par les populations.
Il a ainsi alerté ce matin en faisant le point sur les différents indicateurs qu’il faudrait analyser pour lutter contre la maladie. « Il faut analyser l’indicateur des cas communautaires. Aujourd’hui c’est la question phare. Si aujourd’hui, les personnes ne respectent pas les mesures barrières, il faudra s’attendre à l’augmentation des cas communautaires. Il faut que les mesures barrières soient respecter », prévient Pr Bousso.
« NOUS SOMMES SOUS STRESS... »
Le médecin d’ajouter : « Nous sommes actuellement sous stress lié à la gestion de cette pandémie. Il n’est pas évident pour un système de santé d’absorber 4 mille patients ». A son avis, l’analyse des cas communautaires devra se faire différemment. Car, alerte-t-il, ces cas vont être de plus en plus importants. Dans le même ordre d’idée, il a demandé la protection des personnes vulnérables. C’est-à-dire les personnes âgées et celles qui ont des maladies chroniques. Il rappelle que la majorité des jeunes 20 à 40 sont des personnes asymptomatiques et constituent des risques sur les sujets vulnérables. De ce fait, il estime qu’il est important qu’on puisse mettre l’accent sur ces groupes vulnérables.
emediasn
Il a ainsi alerté ce matin en faisant le point sur les différents indicateurs qu’il faudrait analyser pour lutter contre la maladie. « Il faut analyser l’indicateur des cas communautaires. Aujourd’hui c’est la question phare. Si aujourd’hui, les personnes ne respectent pas les mesures barrières, il faudra s’attendre à l’augmentation des cas communautaires. Il faut que les mesures barrières soient respecter », prévient Pr Bousso.
« NOUS SOMMES SOUS STRESS... »
Le médecin d’ajouter : « Nous sommes actuellement sous stress lié à la gestion de cette pandémie. Il n’est pas évident pour un système de santé d’absorber 4 mille patients ». A son avis, l’analyse des cas communautaires devra se faire différemment. Car, alerte-t-il, ces cas vont être de plus en plus importants. Dans le même ordre d’idée, il a demandé la protection des personnes vulnérables. C’est-à-dire les personnes âgées et celles qui ont des maladies chroniques. Il rappelle que la majorité des jeunes 20 à 40 sont des personnes asymptomatiques et constituent des risques sur les sujets vulnérables. De ce fait, il estime qu’il est important qu’on puisse mettre l’accent sur ces groupes vulnérables.
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