Après les déclarations du Premier ministre qui a dénoncé une " gestion catastrophique" des finances publiques par le régime sortant, des voix se sont élevées pour mettre en cause le nouveau ministre des finances.
Certains ont même prétendu qu’il avait quelque responsabilité dans la manière dont les ressources publiques ont été dilapidées sous le règne de Macky. Que nenni! Des sources tapies dans son ministère nous soufflent que "son champ de compétence, sous l'ancien régime, était bien délimité".
En fait, ce ministre, patron des finances Sénégalaises hérite de l’une des fonctions les plus exposées du gouvernement. De quoi lui donner quelques cheveux de cendre que sa barbe de trois jours, toujours finement taillée. Il est tenu d'avaler encore et encore des couleuvres.
Cependant, force est de recadrer ces mauvaises langues car, non seulement l’homme est compétent, bien formé et rigoureux dans son travail, mais il n’existe pas meilleur profil pour occuper ce poste si important pour notre pays qui aspire à atteindre la souveraineté totale à l’horizon 2050. Les cadres des régies financières s'accordent à dire que ce "mouride sadikh", qui n'a d'yeux et d'oreilles que pour son guide Serigne Touba, a les qualités requises
Au vu de la qualité de ses diplômes académiques (acquis dans des institutions universitaires de classe mondiale, d’ici et d’ailleurs) ; au vu sa durée non négligeable dans la sphère ministérielle qu’il a en charge de gérer aujourd’hui) ; vu l’ampleur technique des responsabilités administratives qu’il a eu à y occuper, et à propos desquelles il a, selon toute vraisemblance, apporté entière satisfaction ; vu son implication de tout premier ordre dans l’élaboration et la mise en œuvre d’importantes politiques budgétaires… et encore, et encore.
Toutes ces marques de compétences, il les a étalées avec maestria sous le magistère du régime sortant. Ce qui veut dire que s’il y avait un tant soit peu de lacune dans l’exercice d’autant de responsabilités, il n’aurait guère tapé dans l’œil des tenants du nouveau régime, fut-il un membre déclaré ou discret de leur formation politique.
Comme l’écrasante majorité de nos compatriotes, nous sommes nous aussi tombés sous l’imposante carrure professionnelle de ce crack des Finances et du Budget, loin de nos têtes de linotte, et n’avons aucun doute que par la grâce de Dieu, il accomplira cette lourde mission d’une manière telle que personne n’aura jamais envie de le voir quitter ce très stratégique département ministériel.
C’est un monsieur dont les compétences ne sont plus à démontrer, et qui connaît parfaitement le ministère qui lui est confié. C’est à ce titre qu’il a toute la confiance du président Diomaye et de son premier ministre Ousmane Sonko. Tout le reste n'est que littérature !
Saer Diop
Certains ont même prétendu qu’il avait quelque responsabilité dans la manière dont les ressources publiques ont été dilapidées sous le règne de Macky. Que nenni! Des sources tapies dans son ministère nous soufflent que "son champ de compétence, sous l'ancien régime, était bien délimité".
En fait, ce ministre, patron des finances Sénégalaises hérite de l’une des fonctions les plus exposées du gouvernement. De quoi lui donner quelques cheveux de cendre que sa barbe de trois jours, toujours finement taillée. Il est tenu d'avaler encore et encore des couleuvres.
Cependant, force est de recadrer ces mauvaises langues car, non seulement l’homme est compétent, bien formé et rigoureux dans son travail, mais il n’existe pas meilleur profil pour occuper ce poste si important pour notre pays qui aspire à atteindre la souveraineté totale à l’horizon 2050. Les cadres des régies financières s'accordent à dire que ce "mouride sadikh", qui n'a d'yeux et d'oreilles que pour son guide Serigne Touba, a les qualités requises
Au vu de la qualité de ses diplômes académiques (acquis dans des institutions universitaires de classe mondiale, d’ici et d’ailleurs) ; au vu sa durée non négligeable dans la sphère ministérielle qu’il a en charge de gérer aujourd’hui) ; vu l’ampleur technique des responsabilités administratives qu’il a eu à y occuper, et à propos desquelles il a, selon toute vraisemblance, apporté entière satisfaction ; vu son implication de tout premier ordre dans l’élaboration et la mise en œuvre d’importantes politiques budgétaires… et encore, et encore.
Toutes ces marques de compétences, il les a étalées avec maestria sous le magistère du régime sortant. Ce qui veut dire que s’il y avait un tant soit peu de lacune dans l’exercice d’autant de responsabilités, il n’aurait guère tapé dans l’œil des tenants du nouveau régime, fut-il un membre déclaré ou discret de leur formation politique.
Comme l’écrasante majorité de nos compatriotes, nous sommes nous aussi tombés sous l’imposante carrure professionnelle de ce crack des Finances et du Budget, loin de nos têtes de linotte, et n’avons aucun doute que par la grâce de Dieu, il accomplira cette lourde mission d’une manière telle que personne n’aura jamais envie de le voir quitter ce très stratégique département ministériel.
C’est un monsieur dont les compétences ne sont plus à démontrer, et qui connaît parfaitement le ministère qui lui est confié. C’est à ce titre qu’il a toute la confiance du président Diomaye et de son premier ministre Ousmane Sonko. Tout le reste n'est que littérature !
Saer Diop