
Après le juge d'instruction, la Chambre d'accusation a dit non à imam Alioune Badara Ndao et ses présumés complices qui l'avaient saisie pour obtenir une liberté provisoire, informe Le Quotidien. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, acte de terrorisme, apologie du terrorisme, financement du terrorisme, blanchiment de capitaux dans le cadre d'activités terroristes en bandes organisées et complicité.