La Première Dame du Sénégal séjourne discrètement aux lieux saints de l'Islam. Sans crier gare, elle s'est rendue à la Mecque aux fins de sacrifier au rituel du Hajj à l'image de la Ummah Islamique.
Cela dit, le pèlerinage s'inspire d'une tradition antérieure à l'Islam, qui remonte à Abraham, patriarche biblique vénéré par les musulmans comme par les juifs et les chrétiens. La Kaaba, grande construction cubique au sein de la Masjid al-Harâm ("la Mosquée sacrée"), abritait alors des centaines d'idoles anté-islamiques, détruites en 630 – l’an 9 du calendrier musulman – par le prophète Seydouna Mohamed lors de son retour triomphal à La Mecque.
Le hajj se tient une fois par an au début du mois lunaire musulman dhou al-hajja.
Moment fondamental dans la vie spirituelle des musulmans, le pèlerinage comporte plusieurs étapes codifiées. Des étapes qui mèneront les fidèles sur les traces du prophète Mohamed (PSL).
Dakarposte est en mesure de révéler que tout commence à la Kaaba, dont ils effectuent sept fois le tour, et aux abords de la Grande mosquée, puis à la vallée de Mina pour y passer la nuit, au Mont d’Arafat pour une journée consacrée à la prière, à la plaine de Mouzdalifa pour se préparer à l'Aïd al-Adha - qui consiste à immoler une bête en mémoire d'Ibrahim -, avant de se consacrer à la lapidation des stèles représentant Satan à Mina. Le pèlerinage se termine par de nouvelles circonvolutions autour de la Kaaba.
Il revient à dakarposte que la visite à Médine, lieu du mausolée du prophète Mahomet, facultative, peut s'effectuer avant ou après le hajj.
Un an après la bousculade ayant fait quelque 2300 morts lors du pèlerinage, en 2015, Ryad a commencé à équiper les pèlerins de La Mecque d'un bracelet d'identification. Une mesure encore loin d'être systématique mais qui rassure certains.
Ces bracelets de papier plastifié et comportant un code-barres lisible par smartphone fournissent l'identité, la nationalité, le lieu d'hébergement du pèlerin, le contact des responsables du groupe auquel il appartient, ainsi que toutes les informations enregistrées lors de l'attribution de son visa. Certains sont cependant fournis par des agences de voyage et ne comportent pas les informations enregistrées par les bracelets du ministère du hajj.
Dakarposte tient de bonnes sources que cette année, les autorités saoudiennes ont mobilisé d'importants moyens, dont 100.000 membres des forces de sécurité, et se sont dites prêtes à parer à toute éventualité.
Cela dit, le pèlerinage s'inspire d'une tradition antérieure à l'Islam, qui remonte à Abraham, patriarche biblique vénéré par les musulmans comme par les juifs et les chrétiens. La Kaaba, grande construction cubique au sein de la Masjid al-Harâm ("la Mosquée sacrée"), abritait alors des centaines d'idoles anté-islamiques, détruites en 630 – l’an 9 du calendrier musulman – par le prophète Seydouna Mohamed lors de son retour triomphal à La Mecque.
Le hajj se tient une fois par an au début du mois lunaire musulman dhou al-hajja.
Moment fondamental dans la vie spirituelle des musulmans, le pèlerinage comporte plusieurs étapes codifiées. Des étapes qui mèneront les fidèles sur les traces du prophète Mohamed (PSL).
Dakarposte est en mesure de révéler que tout commence à la Kaaba, dont ils effectuent sept fois le tour, et aux abords de la Grande mosquée, puis à la vallée de Mina pour y passer la nuit, au Mont d’Arafat pour une journée consacrée à la prière, à la plaine de Mouzdalifa pour se préparer à l'Aïd al-Adha - qui consiste à immoler une bête en mémoire d'Ibrahim -, avant de se consacrer à la lapidation des stèles représentant Satan à Mina. Le pèlerinage se termine par de nouvelles circonvolutions autour de la Kaaba.
Il revient à dakarposte que la visite à Médine, lieu du mausolée du prophète Mahomet, facultative, peut s'effectuer avant ou après le hajj.
Un an après la bousculade ayant fait quelque 2300 morts lors du pèlerinage, en 2015, Ryad a commencé à équiper les pèlerins de La Mecque d'un bracelet d'identification. Une mesure encore loin d'être systématique mais qui rassure certains.
Ces bracelets de papier plastifié et comportant un code-barres lisible par smartphone fournissent l'identité, la nationalité, le lieu d'hébergement du pèlerin, le contact des responsables du groupe auquel il appartient, ainsi que toutes les informations enregistrées lors de l'attribution de son visa. Certains sont cependant fournis par des agences de voyage et ne comportent pas les informations enregistrées par les bracelets du ministère du hajj.
Dakarposte tient de bonnes sources que cette année, les autorités saoudiennes ont mobilisé d'importants moyens, dont 100.000 membres des forces de sécurité, et se sont dites prêtes à parer à toute éventualité.