Les choses s’accélèrent dans le dossier du TF1451/R, communément appelé «affaire des 94 milliards de Fcfa».
Il y a de cela quelques jours, le magistrat instructeur, destinataire des deux plaintes d’Ousmane Sonko, avait brièvement entendu ce dernier pour la confirmation de sa constitution comme partie civile et le paiement de la consignation. Le leader du Pastef ayant confirmé ses plaintes contre, d’une part Mamour Diallo, Meïssa Ndiaye et X ; et, d’autre part, contre la commission d’enquête parlementaire qu’il accuse d’avoir violé la loi, le doyen des juges a posé un acte déterminant.
Selon des informations de Libération, il a communiqué les deux plaintes au Procureur de la République pour solliciter son réquisitoire. Deux cas de figure s’offrent au représentant du ministère public : demander l’ouverture d’une information judiciaire ou solliciter un classement sans suite. Dans tous les cas, le dernier mot revient au magistrat instructeur qui peut ne pas suivre le maître des poursuites.
Jonction de toutes les plaintes ?
Mais, en toute logique, le parquet devrait joindre toutes les procédures relatives à cette même affaire et, ouvrir une information judiciaire globale.
En effet, à la suite d’Ousmane Sonko, Mamour Diallo avait directement déposé plainte, devant le parquet, contre le leader du Pastef, qu’il accuse de diffamation et d’injures publiques.
Ce, après avoir été blanchi par la commission d’enquête parlementaire. Le même jour, le mouvement Frapp de Guy Marius Sagna et autres avait initié une plainte contre X déposée sur la table du Procureur de la République qui pourrait «fondre» ces quatre plaintes dans une seule procédure et refiler la balle au doyen des juges qui posera tous les actes nécessaires à la manifestation de la vérité.
Il y a de cela quelques jours, le magistrat instructeur, destinataire des deux plaintes d’Ousmane Sonko, avait brièvement entendu ce dernier pour la confirmation de sa constitution comme partie civile et le paiement de la consignation. Le leader du Pastef ayant confirmé ses plaintes contre, d’une part Mamour Diallo, Meïssa Ndiaye et X ; et, d’autre part, contre la commission d’enquête parlementaire qu’il accuse d’avoir violé la loi, le doyen des juges a posé un acte déterminant.
Selon des informations de Libération, il a communiqué les deux plaintes au Procureur de la République pour solliciter son réquisitoire. Deux cas de figure s’offrent au représentant du ministère public : demander l’ouverture d’une information judiciaire ou solliciter un classement sans suite. Dans tous les cas, le dernier mot revient au magistrat instructeur qui peut ne pas suivre le maître des poursuites.
Jonction de toutes les plaintes ?
Mais, en toute logique, le parquet devrait joindre toutes les procédures relatives à cette même affaire et, ouvrir une information judiciaire globale.
En effet, à la suite d’Ousmane Sonko, Mamour Diallo avait directement déposé plainte, devant le parquet, contre le leader du Pastef, qu’il accuse de diffamation et d’injures publiques.
Ce, après avoir été blanchi par la commission d’enquête parlementaire. Le même jour, le mouvement Frapp de Guy Marius Sagna et autres avait initié une plainte contre X déposée sur la table du Procureur de la République qui pourrait «fondre» ces quatre plaintes dans une seule procédure et refiler la balle au doyen des juges qui posera tous les actes nécessaires à la manifestation de la vérité.