
Selon un rapport du ministère des Finances et du Budget publié dimanche, le Sénégal avait enregistré un déficit budgétaire de 588,3 milliards de francs CFA à l’issue du deuxième trimestre de cette année. Cela représente 34,7 % de l’objectif annuel fixé à 1 695,9 milliards.
« Le déficit budgétaire, à la fin de juin 2025, [était de] 588,3 milliards de francs CFA, soit 34,7 % de la cible de déficit annuel fixée à 1 695,9 milliards », rapporte le dernier rapport trimestriel d’exécution budgétaire (RTEB) dudit ministère.
Selon le RTEB, les fonds réunis, totalisant 2 247,8 milliards, ont servi à combler les besoins de trésorerie et l’insuffisance budgétaire qui s’élève à 2 078,8 milliards. Le rapport de couverture des besoins est donc de 1,08, infirme l’APS.
Selon le rapport trimestriel d’exécution budgétaire, les dépenses du budget général mises en œuvre s’élevaient à 2 814,6 milliards à l’issue du deuxième trimestre, soit 41,9% des prévisions de la loi de finances rectificative (LFR).
Il est important de noter que les rédacteurs du RTEB soulignent que ce niveau d’exécution budgétaire masque « des disparités » entre les différentes catégories de dépenses.
À la fin du deuxième trimestre, les revenus du budget général, comprenant les revenus fiscaux, non fiscaux et les dons budgétaires, ont atteint 2 226,3 milliards. Cela représente près de la moitié des 4 668,9 milliards anticipés dans la LFR.
En ce qui concerne les coûts opérationnels, qui constituent un élément des dépenses du budget global, le taux de réalisation s’élève à 50,4 % des projections.
Selon le rapport trimestriel, la masse salariale a connu une augmentation de 3,3 % sur un an, atteignant 724,1 milliards à la fin de juin 2025. Le taux de réalisation des investissements menés par l’État à l’aide de fonds internes s’élève à 31,8 % (186,6 milliards).
Selon le RTEB, les financements externes – excluant les rétrocessions et les prêts-programmes – avaient permis de réaliser des investissements s’élevant à 395,3 milliards à la fin juin.
walf
« Le déficit budgétaire, à la fin de juin 2025, [était de] 588,3 milliards de francs CFA, soit 34,7 % de la cible de déficit annuel fixée à 1 695,9 milliards », rapporte le dernier rapport trimestriel d’exécution budgétaire (RTEB) dudit ministère.
Selon le RTEB, les fonds réunis, totalisant 2 247,8 milliards, ont servi à combler les besoins de trésorerie et l’insuffisance budgétaire qui s’élève à 2 078,8 milliards. Le rapport de couverture des besoins est donc de 1,08, infirme l’APS.
Selon le rapport trimestriel d’exécution budgétaire, les dépenses du budget général mises en œuvre s’élevaient à 2 814,6 milliards à l’issue du deuxième trimestre, soit 41,9% des prévisions de la loi de finances rectificative (LFR).
Il est important de noter que les rédacteurs du RTEB soulignent que ce niveau d’exécution budgétaire masque « des disparités » entre les différentes catégories de dépenses.
À la fin du deuxième trimestre, les revenus du budget général, comprenant les revenus fiscaux, non fiscaux et les dons budgétaires, ont atteint 2 226,3 milliards. Cela représente près de la moitié des 4 668,9 milliards anticipés dans la LFR.
En ce qui concerne les coûts opérationnels, qui constituent un élément des dépenses du budget global, le taux de réalisation s’élève à 50,4 % des projections.
Selon le rapport trimestriel, la masse salariale a connu une augmentation de 3,3 % sur un an, atteignant 724,1 milliards à la fin de juin 2025. Le taux de réalisation des investissements menés par l’État à l’aide de fonds internes s’élève à 31,8 % (186,6 milliards).
Selon le RTEB, les financements externes – excluant les rétrocessions et les prêts-programmes – avaient permis de réaliser des investissements s’élevant à 395,3 milliards à la fin juin.
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