Le dernier maire de la ville d’Abidjan est bien, Ernest N’Koumo MOBIO. Né à Abidjan-Agban en 1933 dans l’actuel District d’Abidjan, il fait des études d’Ingénieur agronome à l’ENSA (Ecole nationale de la statistique appliquée) de Rennes en France et se spécialise en agronomie tropicale. Il fut directeur de cabinet du ministre de l’agriculture de 1966 à 1970, puis directeur général de la Société pour le développement des fruits et légumes (SODEFEL) de 1970 à 1980. Membre du PDCI-RDA, Ernest N’Koumo MOBIO est élu député d’Attécoubé et vice-président de l’Assemblée nationale de 1981 à 1985. En 1985, il est élu à la mairie de la ville d’Abidjan, après le limogeage d’Emmanuel DIOULO en mars 1985. il devient le Président de l’UVICOCI en 1996.
Article 1:
M. TIDJANE THIAM est nommé Président Délégué du PDCI-RDA.
Article 2 :
Le Président Délégué du PDCI-RDA a pour rôle d’assister le Président par intérim du Parti dans tous les aspects de la gestion et de la direction du Parti.
Le Président Délégué du PDCI-RDA est directement rattaché au Président par intérim du Parti.
Ses fonctions prennent fin des après l’élection d’un nouveau Président du Parti
« C’est dans l’intérêt supérieur de notre Parti que je prends la décision de remettre entre vos mains, à compter de ce jour, mon mandat de Président »
Tidjane Thiam dénonce un « harcèlement judiciaire inqualifiable », une instrumentalisation de la justice et « un déni de nationalité », accusant ses adversaires d’avoir orchestré une campagne visant à fragiliser son leadership et à affaiblir le parti.
Jeudi 8 mai, la justice ivoirienne a repris l’examen d’une assignation portée contre Tidjane Thiam par Valérie Yapo, militante exclue du PDCI. Cette dernière conteste non seulement la légalité de son exclusion, mais aussi la légitimité de Thiam à diriger le parti.
« Une prise en otage planifiée »
Selon Mme Yapo, les organes qui ont décidé de son exclusion n’étaient pas habilités à le faire car ils auraient été mis en place par un président « illégitime ». Pour appuyer sa requête, elle s’appuie notamment sur l’article 48 du Code de la nationalité ivoirienne, estimant que Tidjane Thiam n’était plus Ivoirien, mais uniquement Français, au moment de son élection à la tête du parti.
Les avocats du PDCI, qui accusent Mme Yapo de vouloir mettre le parti sous tutelle, ont demandé l’ouverture de nouveaux débats en apportant des éléments supplémentaires au dossier. Le procès, loin d’être clos, devrait entrer dans une nouvelle phase le jeudi 15 mai, avec la tenue de plaidoiries publiques.
Agence de Presse Régionale
Article 1:
M. TIDJANE THIAM est nommé Président Délégué du PDCI-RDA.
Article 2 :
Le Président Délégué du PDCI-RDA a pour rôle d’assister le Président par intérim du Parti dans tous les aspects de la gestion et de la direction du Parti.
Le Président Délégué du PDCI-RDA est directement rattaché au Président par intérim du Parti.
Ses fonctions prennent fin des après l’élection d’un nouveau Président du Parti
« C’est dans l’intérêt supérieur de notre Parti que je prends la décision de remettre entre vos mains, à compter de ce jour, mon mandat de Président »
Tidjane Thiam dénonce un « harcèlement judiciaire inqualifiable », une instrumentalisation de la justice et « un déni de nationalité », accusant ses adversaires d’avoir orchestré une campagne visant à fragiliser son leadership et à affaiblir le parti.
Jeudi 8 mai, la justice ivoirienne a repris l’examen d’une assignation portée contre Tidjane Thiam par Valérie Yapo, militante exclue du PDCI. Cette dernière conteste non seulement la légalité de son exclusion, mais aussi la légitimité de Thiam à diriger le parti.
« Une prise en otage planifiée »
Selon Mme Yapo, les organes qui ont décidé de son exclusion n’étaient pas habilités à le faire car ils auraient été mis en place par un président « illégitime ». Pour appuyer sa requête, elle s’appuie notamment sur l’article 48 du Code de la nationalité ivoirienne, estimant que Tidjane Thiam n’était plus Ivoirien, mais uniquement Français, au moment de son élection à la tête du parti.
Les avocats du PDCI, qui accusent Mme Yapo de vouloir mettre le parti sous tutelle, ont demandé l’ouverture de nouveaux débats en apportant des éléments supplémentaires au dossier. Le procès, loin d’être clos, devrait entrer dans une nouvelle phase le jeudi 15 mai, avec la tenue de plaidoiries publiques.
Agence de Presse Régionale

