Mali : Aissatou Sidibé ambitionne de promouvoir l’élégance peule à travers les tenues traditionnelles et les parures
Cette malienne d’origine peule est devenue au fil du temps une habilleuse de beaucoup d’artistes maliens. Il ne passe une semaine sans qu’un artiste lui sollicite pour la réalisation des clips. Dans les cérémonies de mariages, Aissata est devenue incontournable. Son secret de prendre les habits traditionnels avec les parures pour revaloriser la culture africaine. Ce n’est qu’en 2011, qu’elle a commencé le métier de coutrière mais le festival Debbo-Pullo dont la première édition s’est tenue dans la capitale malienne a permis de dévoiler son talent dans le métier de styliste.
Avec son grand salon de coiffure Madina-Couture, elle a beaucoup de commandes surtout au-delà même du terroir malien. Ces multiples voyages à Bruxelles, Paris, Lagos Niamey lui a permis de tisser des relations pour développer son business. A travers les défilés que jeune femme d’une trentaine d’années a vendu l’élégance de la femme peule dans le monde. Son rêve est d’ouvrir un grand centre de métier à Bamako pour aider les filles maliennes à se former aux différents métiers. Pour madame Sidibé, des femmes des ministres la sollicitent pour s’habiller en traditionnel certaines mêmes juste pour se photographier en mode traditionnel afin d’orner leurs salons.
Elle rêve faire de la culture pulaagu une vitrine pour cela, elle lance un appel aux autorités maliennes pour lui faciliter les choses afin d’atteindre son objectif. Avec sa compatriote malienne malienne basée à Paris, Fatoumata Yara, elles vont ensemble faire un festival « Kawral »avant la fin de l’année 2017 à Paris. Elles sont à cheval depuis quelques temps sur ce projet.
En dehors du soutien de son mari, elle finance seule ses activités et ses voyages dans les capitales africaines, Madame Sidibé se désole de manque de soutien. Pour elle, son activité consiste à vendre la destination Mali. L’association tabital pulaaku international l’a sollicité souvent pour des défilés traditionnels pendant ses rencontres internationales.
rédaction-afriquemidi.com
Avec son grand salon de coiffure Madina-Couture, elle a beaucoup de commandes surtout au-delà même du terroir malien. Ces multiples voyages à Bruxelles, Paris, Lagos Niamey lui a permis de tisser des relations pour développer son business. A travers les défilés que jeune femme d’une trentaine d’années a vendu l’élégance de la femme peule dans le monde. Son rêve est d’ouvrir un grand centre de métier à Bamako pour aider les filles maliennes à se former aux différents métiers. Pour madame Sidibé, des femmes des ministres la sollicitent pour s’habiller en traditionnel certaines mêmes juste pour se photographier en mode traditionnel afin d’orner leurs salons.
Elle rêve faire de la culture pulaagu une vitrine pour cela, elle lance un appel aux autorités maliennes pour lui faciliter les choses afin d’atteindre son objectif. Avec sa compatriote malienne malienne basée à Paris, Fatoumata Yara, elles vont ensemble faire un festival « Kawral »avant la fin de l’année 2017 à Paris. Elles sont à cheval depuis quelques temps sur ce projet.
En dehors du soutien de son mari, elle finance seule ses activités et ses voyages dans les capitales africaines, Madame Sidibé se désole de manque de soutien. Pour elle, son activité consiste à vendre la destination Mali. L’association tabital pulaaku international l’a sollicité souvent pour des défilés traditionnels pendant ses rencontres internationales.
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