Mouhamadou Lamine Laye : communauté Layenne Politique, reddition des comptes et gouvernance Macky
L’attachement inextricable à la Foi, à l’enseignement de Mame Limamou et à la Vérité, sont les signes identitaires de Mouhamadou Lamine Laye, Porte-parole de la Communauté Layène. Avec cet Illustre Religieux, la Vérité n’est pas à troquer. La dire est un acte de Foi.
Quand la scène politique est polluée, la justice menacée, l’argent public dérobé, la gouvernance publique déviée, le parti-pris consacré et l’intérêt national hypothéqué, sa voix fait entendre les échos de la Vérité coranique, de la Sunna, de l’enseignement de Seydina Limamou et du legs de ceux qui ont porté au loin l’héritage de Seydina Issa. Ses Vérités à la cérémonie officielle du 137ème Appel tonnent partout et sur tout.
Classe politique, Institutions et reddition de comptes
La classe politique sénégalaise fait fi de la dimension morale de l’action. Seydina Lamine la raisonne car pour lui, l’exemplarité d’un acteur politique dérive de l’exercice de ses responsabilités publiques dans l’ordre moral, lequel à son tour repose sur la Foi en Dieu. Le respect de ceux qui incarnent les Institutions est une exigence.
Macky Sall est devenu Président de la République par la Volonté divine. Mais certains acteurs politiques se montrent haineux à son endroit, manifestant une infirmité morale que tance le Guide religieux. Ceux qui ont en charge des responsabilités doivent, selon lui, être conscients qu’ils rendront compte devant Dieu. Les effluves des rapports des organes de contrôle se font alors sentir.
Malheureusement, ils sont tamisés. Or, assène le Porte-parole, « toute personne qui exerce des responsabilités doit rendre compte au Président de la République, aux populations avant de rendre compte, au Jugement dernier, à Dieu ! ». Seulement, les Apéristes épinglés de l’ARMP, de l’IGE, de la CENTIF et de l’OFNAC ne rendront compte qu’au Jugement Dernier. Le parti-pris du Macky les protège pour le moment.
Khalifa Sall et la Communauté Layène
Mouhamadou Lamine Laye est un véritable Guide religieux d’exception. Il a donné une belle leçon d’honnêteté et d’esprit de reconnaissance. Le régime mène une guerre médiocre et partisane contre le Maire de Dakar. Mais la Communauté Layène, par sa Voix, a eu l’exquise probité et la bienheureuse intégrité d’exprimer à ce dernier son soutien moral, surtout pour ce qu’il a fait dans la cité religieuse.
C’est Khalifa Sall qui a « construit le Mausolée de Seydina Issa Rouhou Lahi », rappelle-t-on. Certes, il est Maire de Dakar pour satisfaire les populations, construire les espaces publics et être d’un apport effectif pour toutes les cités religieuses. Mais en mesurant à sa juste dimension l’importance spirituelle, voire vitale, de Seydina Issa Rouhou Lahi pour la Communauté Layène et assurer la construction de son Mausolée sans s’en glorifier, est un bel acte à saluer à l’applaudimètre.
C’est la preuve que la gouvernance publique dans un esprit de service et de sacerdoce est donc une valeur devenue rare dans ce pays infecté d’improductifs élus et nommés du hasard.
Et les autres Communautés ?
Des Guides religieux ont bénéficié des actes de la Mairie de Dakar sous l’inspiration de Khalifa Sall. Mais ils se terrent devant l’injuste épreuve qu’il subit. Pourtant, ils furent des habitués du Building Communal où on ne les traitait jamais de « citoyens ordinaires ». Mais, comme c’est celui qui les prenait ainsi qui a aujourd’hui le Pouvoir et l’Avoir, ils bénissent tout ce qu’il fait pour jouir de ses largesses. Or, face à l’épreuve que subit une personne avec qui on a bénéficié de biens et services, se taire est un acte de déloyauté et de lâcheté. L’honnêteté et la Vérité sont des attributs de Dieu.
C’est pourquoi, Serigne Moustapha Sy, Guide des Moustarchides, Mouhamadou Lamine Laye de la Communauté Layène et Mgr Benjamin Ndiaye de la Cathédrale ont, par vertu et loyauté, exprimé leur soutien moral à l’Elu de Dakar qui, dans l’exercice de ses responsabilités publiques, a posé des actes bénis relevant de leurs obédiences respectives. Mais des Religieux ayant joui de son œuvre, et même de cette Caisse d’avance, se cachent. Et ils seraient les premiers à louer Khalifa Sall si jamais le destin faisait de lui le successeur de Macky.
Promesses non tenues : un péché !
La non-tenue d’une promesse est identifiable à un mensonge. Or, le mensonge est un péché et le péché est puni. C’est la sage pédagogie assenée aux hâbleurs politiques. « On promet des choses qu’on ne fait pas. C’est un grand péché qui sera sévèrement puni par Dieu. La démagogie est en train de gagner du terrain dans le discours politique », avertit Mouhamadou Lamine Laye.
Que de pécheurs compte-t-on donc dans le champ politique ! Déjà, la promesse d’un quinquennat non tenue en est le plus fragrant. Macky s’engageait à répondre devant les Urnes en cette année 2017. Il ne l’a pas fait. Il a donc péché ! Mouhamadou Lamine Laye ne l’a point dit. Mais c’est une promesse non-tenue qui est un…péché !
Le Piroguier
Quand la scène politique est polluée, la justice menacée, l’argent public dérobé, la gouvernance publique déviée, le parti-pris consacré et l’intérêt national hypothéqué, sa voix fait entendre les échos de la Vérité coranique, de la Sunna, de l’enseignement de Seydina Limamou et du legs de ceux qui ont porté au loin l’héritage de Seydina Issa. Ses Vérités à la cérémonie officielle du 137ème Appel tonnent partout et sur tout.
Classe politique, Institutions et reddition de comptes
La classe politique sénégalaise fait fi de la dimension morale de l’action. Seydina Lamine la raisonne car pour lui, l’exemplarité d’un acteur politique dérive de l’exercice de ses responsabilités publiques dans l’ordre moral, lequel à son tour repose sur la Foi en Dieu. Le respect de ceux qui incarnent les Institutions est une exigence.
Macky Sall est devenu Président de la République par la Volonté divine. Mais certains acteurs politiques se montrent haineux à son endroit, manifestant une infirmité morale que tance le Guide religieux. Ceux qui ont en charge des responsabilités doivent, selon lui, être conscients qu’ils rendront compte devant Dieu. Les effluves des rapports des organes de contrôle se font alors sentir.
Malheureusement, ils sont tamisés. Or, assène le Porte-parole, « toute personne qui exerce des responsabilités doit rendre compte au Président de la République, aux populations avant de rendre compte, au Jugement dernier, à Dieu ! ». Seulement, les Apéristes épinglés de l’ARMP, de l’IGE, de la CENTIF et de l’OFNAC ne rendront compte qu’au Jugement Dernier. Le parti-pris du Macky les protège pour le moment.
Khalifa Sall et la Communauté Layène
Mouhamadou Lamine Laye est un véritable Guide religieux d’exception. Il a donné une belle leçon d’honnêteté et d’esprit de reconnaissance. Le régime mène une guerre médiocre et partisane contre le Maire de Dakar. Mais la Communauté Layène, par sa Voix, a eu l’exquise probité et la bienheureuse intégrité d’exprimer à ce dernier son soutien moral, surtout pour ce qu’il a fait dans la cité religieuse.
C’est Khalifa Sall qui a « construit le Mausolée de Seydina Issa Rouhou Lahi », rappelle-t-on. Certes, il est Maire de Dakar pour satisfaire les populations, construire les espaces publics et être d’un apport effectif pour toutes les cités religieuses. Mais en mesurant à sa juste dimension l’importance spirituelle, voire vitale, de Seydina Issa Rouhou Lahi pour la Communauté Layène et assurer la construction de son Mausolée sans s’en glorifier, est un bel acte à saluer à l’applaudimètre.
C’est la preuve que la gouvernance publique dans un esprit de service et de sacerdoce est donc une valeur devenue rare dans ce pays infecté d’improductifs élus et nommés du hasard.
Et les autres Communautés ?
Des Guides religieux ont bénéficié des actes de la Mairie de Dakar sous l’inspiration de Khalifa Sall. Mais ils se terrent devant l’injuste épreuve qu’il subit. Pourtant, ils furent des habitués du Building Communal où on ne les traitait jamais de « citoyens ordinaires ». Mais, comme c’est celui qui les prenait ainsi qui a aujourd’hui le Pouvoir et l’Avoir, ils bénissent tout ce qu’il fait pour jouir de ses largesses. Or, face à l’épreuve que subit une personne avec qui on a bénéficié de biens et services, se taire est un acte de déloyauté et de lâcheté. L’honnêteté et la Vérité sont des attributs de Dieu.
C’est pourquoi, Serigne Moustapha Sy, Guide des Moustarchides, Mouhamadou Lamine Laye de la Communauté Layène et Mgr Benjamin Ndiaye de la Cathédrale ont, par vertu et loyauté, exprimé leur soutien moral à l’Elu de Dakar qui, dans l’exercice de ses responsabilités publiques, a posé des actes bénis relevant de leurs obédiences respectives. Mais des Religieux ayant joui de son œuvre, et même de cette Caisse d’avance, se cachent. Et ils seraient les premiers à louer Khalifa Sall si jamais le destin faisait de lui le successeur de Macky.
Promesses non tenues : un péché !
La non-tenue d’une promesse est identifiable à un mensonge. Or, le mensonge est un péché et le péché est puni. C’est la sage pédagogie assenée aux hâbleurs politiques. « On promet des choses qu’on ne fait pas. C’est un grand péché qui sera sévèrement puni par Dieu. La démagogie est en train de gagner du terrain dans le discours politique », avertit Mouhamadou Lamine Laye.
Que de pécheurs compte-t-on donc dans le champ politique ! Déjà, la promesse d’un quinquennat non tenue en est le plus fragrant. Macky s’engageait à répondre devant les Urnes en cette année 2017. Il ne l’a pas fait. Il a donc péché ! Mouhamadou Lamine Laye ne l’a point dit. Mais c’est une promesse non-tenue qui est un…péché !
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