
C’est sans doute le scoop du jour. Alors qu’on épiloguait sur la prolifération des partis politiques qui brouille la lisibilité du jeu politique au Sénégal, une information aux relents scandaleux vient confirmer la nécessité de rationaliser l’échiquier politique.
Avec 18 millions d’habitants, le pays compte 386 partis politiques reconnus.
Et, tenez-vous bien, selon une source de Seneweb, sur les 386 partis politiques reconnus, seuls 14 sont en règle. Une nouvelle qui donne du grain à moudre aux acteurs politiques qui seront, ce mercredi 28 mai, autour de la table du dialogue et qui se pencheront sur cette question de la rationalisation inscrite à l’ordre du jour.
Dans un entretien accordé à Seneweb en Avril 2024, le secrétaire général du Gradec, Babacar Fall soulignait : « Sur 366 partis politiques (en avril 2024), à peine 70 ont une adresse réelle. Lors de la révision constitutionnelle de 2016, il y avait un chapitre consacré aux partis politiques visant à redéfinir leur rôle. Je pense donc qu’il faut voir aujourd’hui les moyens qui pourront aller dans le sens de rationaliser les partis en les regroupant par exemple par famille idéologique ou par affinité de manière à avoir 10 à 15 partis ».
Des propos qui semblent corroborer cette information et attestent de l’impérieuse nécessité de mettre fin à cette anarchie. D’ailleurs entre avril 2024 et mai 2025, le nombre de partis reconnus est passé de 366 à 386, soit 20 nouveaux partis reconnus en 13 mois.
SENEWEB
Avec 18 millions d’habitants, le pays compte 386 partis politiques reconnus.
Et, tenez-vous bien, selon une source de Seneweb, sur les 386 partis politiques reconnus, seuls 14 sont en règle. Une nouvelle qui donne du grain à moudre aux acteurs politiques qui seront, ce mercredi 28 mai, autour de la table du dialogue et qui se pencheront sur cette question de la rationalisation inscrite à l’ordre du jour.
Dans un entretien accordé à Seneweb en Avril 2024, le secrétaire général du Gradec, Babacar Fall soulignait : « Sur 366 partis politiques (en avril 2024), à peine 70 ont une adresse réelle. Lors de la révision constitutionnelle de 2016, il y avait un chapitre consacré aux partis politiques visant à redéfinir leur rôle. Je pense donc qu’il faut voir aujourd’hui les moyens qui pourront aller dans le sens de rationaliser les partis en les regroupant par exemple par famille idéologique ou par affinité de manière à avoir 10 à 15 partis ».
Des propos qui semblent corroborer cette information et attestent de l’impérieuse nécessité de mettre fin à cette anarchie. D’ailleurs entre avril 2024 et mai 2025, le nombre de partis reconnus est passé de 366 à 386, soit 20 nouveaux partis reconnus en 13 mois.
SENEWEB