
Leur première rencontre dans le bureau ovale n'avait pas été de tout repos. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est attendu lundi à Washington où il devrait évoquer avec son homologue américain le sommet en Alaska avec Vladimir Poutine.
"Si tout marche bien, nous programmerons alors une rencontre avec le président Poutine", a déclaré Donald Trump, laissant envisager un sommet tripartite.
Plus tard, dans un message publié sur Truth Social, le président américain a évoqué la fin de la guerre en Ukraine. "Il a été établi par tous que le meilleur moyen de mettre fin à cette guerre horrible entre la Russie et l'Ukraine est de se diriger directement vers un accord de paix, qui mettrait fin à la guerre, et pas vers un simple accord de cessez-le-feu, qui souvent ne tient pas", a déclaré le président américain.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est dit favorable à une coopération constructive et à la tenue d'une réunion tripartite. "L'Ukraine réaffirme être prête à travailler avec un effort maximum pour parvenir à la paix", a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.
Vladimir Poutine n'a en revanche fait aucune mention d'une rencontre avec le président ukrainien lors d'une conversation avec des journalistes un peu plus tôt dans la journée. Selon l'agence de presse d'État russe TASS, le conseiller du Kremlin Iouri Oushakov a déclaré que la possibilité d'un sommet à trois, incluant Volodymyr Zelensky, n'a pas été discutée.
L'Europe prête à soutenir un sommet trilatéral
Les dirigeants européens, qui se sont également entretenus pendant plus d'une heure avec le président Donald Trump, se sont dit prêts à travers en vue d'un sommet trilatéral avec le soutien de l'Europe, tout en restant vigilants sur la demande de garanties de sécurité pour l'Ukraine.
"Nous sommes (...) prêts à travailler avec les Présidents Trump et Zelensky en vue d'un sommet trilatéral, avec le soutien de l'Europe" écrivent la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre britannique Keir Starmer dans un communiqué commun.
"C'est à l'Ukraine qu'il appartiendra de prendre des décisions concernant son territoire", assurent-ils. Ils se disent également "prêts à maintenir la pression" sur la Russie" par le biais de sanctions "tant que les tueries en Ukraine se poursuivront".
Garanties de sécurité
Le président Emmanuel Macron a au contraire mis en garde contre "la propension" de la Russie "à ne pas tenir ses propres engagements".
"Il est indispensable de continuer à soutenir l'Ukraine et de faire pression sur la Russie tant que sa guerre d'agression se poursuit et qu'une paix solide et durable respectueuse des droits de l'Ukraine n'a pas été conclue", a déclaré le président français Emmanuel Macron sur X. "Toute paix durable devra s'accompagner de garanties de sécurité indéfectibles."
Le président ukrainien a accusé par le passé son homologue russe de bluffer concernant son désir réel de conclure un accord de paix – un avis partagé par certains responsables européens.
Il a répété son refus de céder des territoires à la Russie et demande des garanties sécuritaires de la part des Occidentaux.
"Si tout marche bien, nous programmerons alors une rencontre avec le président Poutine", a déclaré Donald Trump, laissant envisager un sommet tripartite.
Plus tard, dans un message publié sur Truth Social, le président américain a évoqué la fin de la guerre en Ukraine. "Il a été établi par tous que le meilleur moyen de mettre fin à cette guerre horrible entre la Russie et l'Ukraine est de se diriger directement vers un accord de paix, qui mettrait fin à la guerre, et pas vers un simple accord de cessez-le-feu, qui souvent ne tient pas", a déclaré le président américain.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est dit favorable à une coopération constructive et à la tenue d'une réunion tripartite. "L'Ukraine réaffirme être prête à travailler avec un effort maximum pour parvenir à la paix", a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.
Vladimir Poutine n'a en revanche fait aucune mention d'une rencontre avec le président ukrainien lors d'une conversation avec des journalistes un peu plus tôt dans la journée. Selon l'agence de presse d'État russe TASS, le conseiller du Kremlin Iouri Oushakov a déclaré que la possibilité d'un sommet à trois, incluant Volodymyr Zelensky, n'a pas été discutée.
L'Europe prête à soutenir un sommet trilatéral
Les dirigeants européens, qui se sont également entretenus pendant plus d'une heure avec le président Donald Trump, se sont dit prêts à travers en vue d'un sommet trilatéral avec le soutien de l'Europe, tout en restant vigilants sur la demande de garanties de sécurité pour l'Ukraine.
"Nous sommes (...) prêts à travailler avec les Présidents Trump et Zelensky en vue d'un sommet trilatéral, avec le soutien de l'Europe" écrivent la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre britannique Keir Starmer dans un communiqué commun.
"C'est à l'Ukraine qu'il appartiendra de prendre des décisions concernant son territoire", assurent-ils. Ils se disent également "prêts à maintenir la pression" sur la Russie" par le biais de sanctions "tant que les tueries en Ukraine se poursuivront".
Garanties de sécurité
Le président Emmanuel Macron a au contraire mis en garde contre "la propension" de la Russie "à ne pas tenir ses propres engagements".
"Il est indispensable de continuer à soutenir l'Ukraine et de faire pression sur la Russie tant que sa guerre d'agression se poursuit et qu'une paix solide et durable respectueuse des droits de l'Ukraine n'a pas été conclue", a déclaré le président français Emmanuel Macron sur X. "Toute paix durable devra s'accompagner de garanties de sécurité indéfectibles."
Le président ukrainien a accusé par le passé son homologue russe de bluffer concernant son désir réel de conclure un accord de paix – un avis partagé par certains responsables européens.
Il a répété son refus de céder des territoires à la Russie et demande des garanties sécuritaires de la part des Occidentaux.