La jalousie est un des pires ennemis de l’homme. Quand elle est excessive, elle peut même être à l’origine d'un crime. Mamadou Lamarana Diallo n'en est pas arrivé là mais il a été très violent envers sa femme qu’il accuse d’adultère. Ne se limitant pas à des soupçons, il lui a donné une raclée que sa femme, Absatou Diallo, n’est pas prête d’oublier. La correction a été tellement violente que l’épouse a traîné son mari à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar. Qui, ce matin, a condamné le vieux commerçant Diallo a une peine ferme d’un mois de prison pour coups et blessures volontaires à conjoint.
Il bastonne la mère de ses enfants avec un fil
Pour comprendre le contentieux entre eux, il faut remonter au 10 juin 2020, date à laquelle le couple s’est bagarré. Absatou est sortie de la maison à 11 heures pour ne revenir qu’en début de soirée. Ce, sans informer son mari. Sans nouvelles de sa femme et ne sachant pas dans quoi elle était, le mari a fait le pied de grue . Et lorsque Absatou arrive et que son époux lui demande où elle avait passé la journée, les réponses donnés ne l’ont pas convaincues. Face au visage incertain de sa femme, il a sorti un fil et l’a bien frappé. Et la dame aura son salut grâce aux voisins qui ont accouru en entendant les stridents cris de la dame. Face à cette humiliation et très fâché contre son mari, la dame Diallo porte plainte contre lui. Placé sous mandat de dépôt, le désistement de son épouse n’a pas empêché a la justice de faire son travail. A la barre, le père de 9 enfants qui dit ne pas supporter que sa femme déserte ainsi la maison a reconnu les faits qui lui sont reprochés.
Le vieux commerçant a l’habitude de frapper sa femme, lui a coupé les vivres et a refusé de déclarer leur dernier enfant
Expliquant les raisons de son attitude, il confie au juge : « Elle est sortie à 11 heures et n’est revenue qu’à 18 heures. Je lui ai demandé d’où elle revenait mais elle m'a répondu se façon irrespectueuse. Elle a pour habitude de sortir de la maison durant des heures. Chose que je ne pouvais plus supporter. On s’est disputé. Et c’était violent. Et je l’ai frappé. » Le juge qui n’est pas emballé par sa version des faits lui a rappelé les conditions dans laquelle se trouve sa femme. Selon lui, le prévenu a l’habitude de lui couper les vivres à sa femme et de la violenter. Cerise sur le gâteau, le prévenu a refusé de déclarer leur dernier enfant à l’état civile. Assez pour demander sa condamnation. Me Ibrahima Mbengue, avocat du prévenu, a demandé au tribunal d’être compréhensif. Si son client agi ainsi, c’est parce qu’il soupçonnait, selon lui, sa femme d’adultère. C’est donc, pour l’avocat , une crise de jalousie.
Il bastonne la mère de ses enfants avec un fil
Pour comprendre le contentieux entre eux, il faut remonter au 10 juin 2020, date à laquelle le couple s’est bagarré. Absatou est sortie de la maison à 11 heures pour ne revenir qu’en début de soirée. Ce, sans informer son mari. Sans nouvelles de sa femme et ne sachant pas dans quoi elle était, le mari a fait le pied de grue . Et lorsque Absatou arrive et que son époux lui demande où elle avait passé la journée, les réponses donnés ne l’ont pas convaincues. Face au visage incertain de sa femme, il a sorti un fil et l’a bien frappé. Et la dame aura son salut grâce aux voisins qui ont accouru en entendant les stridents cris de la dame. Face à cette humiliation et très fâché contre son mari, la dame Diallo porte plainte contre lui. Placé sous mandat de dépôt, le désistement de son épouse n’a pas empêché a la justice de faire son travail. A la barre, le père de 9 enfants qui dit ne pas supporter que sa femme déserte ainsi la maison a reconnu les faits qui lui sont reprochés.
Le vieux commerçant a l’habitude de frapper sa femme, lui a coupé les vivres et a refusé de déclarer leur dernier enfant
Expliquant les raisons de son attitude, il confie au juge : « Elle est sortie à 11 heures et n’est revenue qu’à 18 heures. Je lui ai demandé d’où elle revenait mais elle m'a répondu se façon irrespectueuse. Elle a pour habitude de sortir de la maison durant des heures. Chose que je ne pouvais plus supporter. On s’est disputé. Et c’était violent. Et je l’ai frappé. » Le juge qui n’est pas emballé par sa version des faits lui a rappelé les conditions dans laquelle se trouve sa femme. Selon lui, le prévenu a l’habitude de lui couper les vivres à sa femme et de la violenter. Cerise sur le gâteau, le prévenu a refusé de déclarer leur dernier enfant à l’état civile. Assez pour demander sa condamnation. Me Ibrahima Mbengue, avocat du prévenu, a demandé au tribunal d’être compréhensif. Si son client agi ainsi, c’est parce qu’il soupçonnait, selon lui, sa femme d’adultère. C’est donc, pour l’avocat , une crise de jalousie.