Dans un contexte déjà marqué par le tragique assassinat de Cheikh Touré, une nouvelle disparition vient d’être signalée. Alassane Diallo, un jeune footballeur prometteur originaire de Pikine, est porté disparu au Ghana depuis le samedi 18 octobre 2025. Son histoire, teintée d’espoirs brisés et de manipulations suspectes, soulève des questions troublantes sur les pratiques opaques dans le monde du football africain.
Un rêve de carrière transformé en cauchemar
Tout commence en juillet 2025, lorsque Alassane Diallo, reçoit une proposition alléchante : un centre ghanéen (NJÀCCAAR SPORTS CENTER) lui offre l’opportunité de rejoindre ses rangs avant de participer à un tournoi de tests au Maroc. Une chance en or pour ce jeune talent, qui voit dans cette offre une passerelle vers une carrière professionnelle. Muni d’une attestation, il quitte son domicile familial, le cœur léger et l’esprit rempli d’ambitions.
Cependant, une fois sur place, le rêve vire rapidement au cauchemar. Le club, dont l’identité reste floue, exige de lui une somme de 850 000 francs CFA pour intégrer le groupe devant se rendre au Maroc. Le 25 juillet, sa mère, malgré ses doutes, lui transfère la somme demandée. Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là. Le 9 octobre, Alassane contacte à nouveau sa famille, cette fois pour réclamer 1 200 000 francs CFA supplémentaires, arguant que le club exige cette somme pour régler des frais urgents. Sans hésitation, son frère lui envoie l’argent le même jour, entre 15h26 et 15h29.
Une disparition mystérieuse et inquiétante
Après ces transferts d’argent, les communications d’Alassane se font de plus en plus rares. Le samedi 18 octobre, jour de sa dernière communication, il cesse brusquement de donner signe de vie. La famille, déjà traumatisée par l’annonce de l’assassinat de Cheikh Touré, un autre jeune footballeur sénégalais, se précipite pour obtenir des nouvelles. Mais depuis lors, le silence est total. Aucun appel, aucun message, aucune trace de leur fils.
Les autorités sénégalaises et ghanéennes sont appelées à intervenir rapidement pour élucider cette affaire. La famille d’Alassane, désespérée, lance un appel à l’aide à la communauté internationale, aux organisations de défense des droits de l’homme et aux instances sportives pour qu’ils se mobilisent afin de retrouver leur fils et de mettre fin à ces pratiques criminelles.
Un appel à la vigilance
En attendant des réponses, cette histoire tragique doit servir de rappel poignant. Les familles doivent rester vigilantes face aux offres trop belles pour être vraies. Le cas d’Alassane Diallo met en lumière les dangers auxquels sont exposés les jeunes talents africains, souvent victimes de réseaux peu scrupuleux qui exploitent leurs rêves et leur vulnérabilité.
Sané Malang
Un rêve de carrière transformé en cauchemar
Tout commence en juillet 2025, lorsque Alassane Diallo, reçoit une proposition alléchante : un centre ghanéen (NJÀCCAAR SPORTS CENTER) lui offre l’opportunité de rejoindre ses rangs avant de participer à un tournoi de tests au Maroc. Une chance en or pour ce jeune talent, qui voit dans cette offre une passerelle vers une carrière professionnelle. Muni d’une attestation, il quitte son domicile familial, le cœur léger et l’esprit rempli d’ambitions.
Cependant, une fois sur place, le rêve vire rapidement au cauchemar. Le club, dont l’identité reste floue, exige de lui une somme de 850 000 francs CFA pour intégrer le groupe devant se rendre au Maroc. Le 25 juillet, sa mère, malgré ses doutes, lui transfère la somme demandée. Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là. Le 9 octobre, Alassane contacte à nouveau sa famille, cette fois pour réclamer 1 200 000 francs CFA supplémentaires, arguant que le club exige cette somme pour régler des frais urgents. Sans hésitation, son frère lui envoie l’argent le même jour, entre 15h26 et 15h29.
Une disparition mystérieuse et inquiétante
Après ces transferts d’argent, les communications d’Alassane se font de plus en plus rares. Le samedi 18 octobre, jour de sa dernière communication, il cesse brusquement de donner signe de vie. La famille, déjà traumatisée par l’annonce de l’assassinat de Cheikh Touré, un autre jeune footballeur sénégalais, se précipite pour obtenir des nouvelles. Mais depuis lors, le silence est total. Aucun appel, aucun message, aucune trace de leur fils.
Les autorités sénégalaises et ghanéennes sont appelées à intervenir rapidement pour élucider cette affaire. La famille d’Alassane, désespérée, lance un appel à l’aide à la communauté internationale, aux organisations de défense des droits de l’homme et aux instances sportives pour qu’ils se mobilisent afin de retrouver leur fils et de mettre fin à ces pratiques criminelles.
Un appel à la vigilance
En attendant des réponses, cette histoire tragique doit servir de rappel poignant. Les familles doivent rester vigilantes face aux offres trop belles pour être vraies. Le cas d’Alassane Diallo met en lumière les dangers auxquels sont exposés les jeunes talents africains, souvent victimes de réseaux peu scrupuleux qui exploitent leurs rêves et leur vulnérabilité.
Sané Malang