
Le ministère russe des Affaires étrangères accuse l'Ukraine de retarder l'échange de prisonniers conclu lors des négociations d'Istanbul, et des médias soutenus par Moscou ont inondé les réseaux sociaux d'affirmations similaires, sans preuve crédible à l'appui.
La semaine dernière, la porte-parole du ministère, Maria Zakharova, a affirmé sur Telegram que Kyiv refusait d'accepter 1 000 soldats ukrainiens capturés dans le cadre d'un accord préliminaire conclu le 23 juillet.
Ces affirmations ont été largement amplifiées sur les réseaux sociaux par des comptes pro-Kremlin et soutenus par l'État russe.
Russia Today, un média contrôlé par le Kremlin, a publié une liste qui inclue prétendument 1 000 soldats exclus de l'accord d'échange par Kyiv. Elle comprend des données personnelles telles que le lieu et la date de naissance, ainsi que le grade militaire.
La page contient également un prétendu témoignage des soldats, qui implorent le président ukrainien Volodymyr Zelensky de les inclure dans l'échange.
L'agence de presse russe TASS a depuis lors rapporté que les 1 000 personnes étaient des soldats et des marins de bas rang plutôt que des fonctionnaires de haut rang, citant des sources militaires anonymes.
Kyiv dénonce une campagne de désinformation du Kremlin
Bien qu'Euroverify n'ait pas été en mesure de vérifier de manière indépendante les noms des 1 000 soldats présumés, la campagne porte toutes les marques de la propagande russe.
Le Centre ukrainien de lutte contre la désinformation a fermement rejeté ces allégations, décrivant la campagne comme "faisant partie d'une stratégie russe plus large visant à déstabiliser [la] situation interne en Ukraine" et à "perturber" l'échange de prisonniers prévu.
Volodymyr Zelensky a déclaré la semaine dernière que les deux parties se préparaient à libérer chacune 1 200 prisonniers de guerre, conformément aux accords préliminaires conclus lors des pourparlers d'Istanbul.
L'Ukraine affirme que les efforts visant à déterminer les noms des prisonniers sont "en cours".
Les deux parties ont échangé de nombreux prisonniers depuis le début de la guerre en février 2022. Jusqu'à présent, la libération de prisonniers de guerre a été le seul résultat concret des pourparlers entre les deux parties.
La semaine dernière, la porte-parole du ministère, Maria Zakharova, a affirmé sur Telegram que Kyiv refusait d'accepter 1 000 soldats ukrainiens capturés dans le cadre d'un accord préliminaire conclu le 23 juillet.
Ces affirmations ont été largement amplifiées sur les réseaux sociaux par des comptes pro-Kremlin et soutenus par l'État russe.
Russia Today, un média contrôlé par le Kremlin, a publié une liste qui inclue prétendument 1 000 soldats exclus de l'accord d'échange par Kyiv. Elle comprend des données personnelles telles que le lieu et la date de naissance, ainsi que le grade militaire.
La page contient également un prétendu témoignage des soldats, qui implorent le président ukrainien Volodymyr Zelensky de les inclure dans l'échange.
L'agence de presse russe TASS a depuis lors rapporté que les 1 000 personnes étaient des soldats et des marins de bas rang plutôt que des fonctionnaires de haut rang, citant des sources militaires anonymes.
Kyiv dénonce une campagne de désinformation du Kremlin
Bien qu'Euroverify n'ait pas été en mesure de vérifier de manière indépendante les noms des 1 000 soldats présumés, la campagne porte toutes les marques de la propagande russe.
Le Centre ukrainien de lutte contre la désinformation a fermement rejeté ces allégations, décrivant la campagne comme "faisant partie d'une stratégie russe plus large visant à déstabiliser [la] situation interne en Ukraine" et à "perturber" l'échange de prisonniers prévu.
Volodymyr Zelensky a déclaré la semaine dernière que les deux parties se préparaient à libérer chacune 1 200 prisonniers de guerre, conformément aux accords préliminaires conclus lors des pourparlers d'Istanbul.
L'Ukraine affirme que les efforts visant à déterminer les noms des prisonniers sont "en cours".
Les deux parties ont échangé de nombreux prisonniers depuis le début de la guerre en février 2022. Jusqu'à présent, la libération de prisonniers de guerre a été le seul résultat concret des pourparlers entre les deux parties.
