Le meurtrier d’Aboubakar Cissé, le jeune Malien de 22 ans assassiné dans la mosquée de La Grand-Combe (Gard), a agi « dans un contexte isolé », guidé par avec des « ressorts très personnels », à savoir une « envie obsessionnelle de tuer une personne », selon la procureure de Nîmes.
« Les faits paraissent à ce stade construits autour de l’envie obsessionnelle de tuer une personne », a déclaré la procureure de la République de Nîmes, Cécile Gensac, lors d’une conférence de presse, précisant que le parquet national antiantiterroriste (Pnat) n’avait « à ce stade » pas retenu la qualification terroriste, mais qu’il « demeure en observation » sur ce dossier sensible.
Rfi
« Les faits paraissent à ce stade construits autour de l’envie obsessionnelle de tuer une personne », a déclaré la procureure de la République de Nîmes, Cécile Gensac, lors d’une conférence de presse, précisant que le parquet national antiantiterroriste (Pnat) n’avait « à ce stade » pas retenu la qualification terroriste, mais qu’il « demeure en observation » sur ce dossier sensible.
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