
C'est dans un climat international particulièrement tendu que s'ouvre ce lundi le sommet du G7 à Kananaskis, au pied des Rocheuses canadiennes.
Deux dossiers majeurs pèsent sur les discussions : l’escalade du conflit entre Israël et l’Iran, et les tensions commerciales provoquées par la politique douanière de Donald Trump.
Face à ces divisions, le Premier ministre canadien Mark Carney, hôte de la réunion, a choisi de renoncer à la publication, comme le veut la tradition, d’une déclaration commune.
Keir Starmer a déclaré s'être entretenu avec Donald Trump au sujet de la guerre directe entre Israël et l'Iran. Le Premier ministre britannique a dit s'attendre à ce que des "discussions intenses" se poursuivent au cours du sommet.
Lors d'une conférence de presse dimanche Ursula von der Leyen, a déclaré que le sommet serait "défini à la fois par la géoéconomie et la géopolitique".
"Nous avons besoin d'une discussion franche entre les partenaires du G7, afin de rétablir un sentiment de stabilité et de prévisibilité entre nous. C'est la première priorité", a-t-elle poursuivi.
Parmi les dirigeants qui ne font pas partie du G7 mais qui ont été invités au sommet par figurent les chefs d'État de l'Inde, de l'Ukraine, du Brésil, de l'Afrique du Sud, de la Corée du Sud, de l'Australie, du Mexique et des Émirats arabes unis.
Le président Volodymyr Zelensky, également convié à participer au sommet doit s’entretenir en marge des discussions avec Donald Trump.
Deux dossiers majeurs pèsent sur les discussions : l’escalade du conflit entre Israël et l’Iran, et les tensions commerciales provoquées par la politique douanière de Donald Trump.
Face à ces divisions, le Premier ministre canadien Mark Carney, hôte de la réunion, a choisi de renoncer à la publication, comme le veut la tradition, d’une déclaration commune.
Keir Starmer a déclaré s'être entretenu avec Donald Trump au sujet de la guerre directe entre Israël et l'Iran. Le Premier ministre britannique a dit s'attendre à ce que des "discussions intenses" se poursuivent au cours du sommet.
Lors d'une conférence de presse dimanche Ursula von der Leyen, a déclaré que le sommet serait "défini à la fois par la géoéconomie et la géopolitique".
"Nous avons besoin d'une discussion franche entre les partenaires du G7, afin de rétablir un sentiment de stabilité et de prévisibilité entre nous. C'est la première priorité", a-t-elle poursuivi.
Parmi les dirigeants qui ne font pas partie du G7 mais qui ont été invités au sommet par figurent les chefs d'État de l'Inde, de l'Ukraine, du Brésil, de l'Afrique du Sud, de la Corée du Sud, de l'Australie, du Mexique et des Émirats arabes unis.
Le président Volodymyr Zelensky, également convié à participer au sommet doit s’entretenir en marge des discussions avec Donald Trump.