
Le président américain Donald Trump a déclaré que son administration avait eu des discussions "très sérieuses" avec la Russie au sujet de la guerre en Ukraine et que lui et le président russe Vladimir Poutine pourraient bientôt prendre des mesures "significatives" pour mettre fin à ce conflit qui dure depuis près de trois ans.
"Nous allons parler et je pense que nous ferons peut-être quelque chose d'important", a déclaré Donald Trump aux journalistes dans le bureau ovale de la Maison-Blanche. "Nous voulons mettre fin à cette guerre. Cette guerre n'aurait pas commencé si j'avais été président".
Donald Trump n'a pas précisé qui, au sein de son administration, avait été en contact avec Moscou, mais il affirme que les deux parties sont "déjà en train de se parler".
Lorsqu'on lui a demandé s'il avait déjà parlé directement avec Vladimir Poutine, le président américain s'est contenté de répondre : "Je ne veux pas le dire".
Donald Trump a répété à maintes reprises qu'il n'aurait pas permis le déclenchement du conflit s'il avait été au pouvoir, alors même qu'il était président au moment où les combats se multipliaient dans l'est de l'Ukraine entre les forces de Kyiv et les séparatistes soutenus par Moscou, avant que Vladimir Poutine n'envoie des dizaines de milliers de soldats en février 2022.
Donald Trump critique Volodymyr Zelensky et l'administration de Joe Biden
Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump a critiqué le président ukrainien Volodymyr Zelensky, affirmant qu'il aurait dû conclure un accord avec Vladimir Poutine pour éviter le conflit.
L'Ukraine dépend actuellement des États-Unis pour environ 40 % de ses besoins militaires ; depuis février 2022, Washington a envoyé à Kyiv plus de 65 milliards de dollars (62 milliards d'euros).
Dans une récente interview accordée à la télévision publique russe, Vladimir Poutine a fait l'éloge de Donald Trump, le qualifiant d'"homme intelligent et pragmatique" qui se concentre sur les intérêts des États-Unis.
"Nous avons toujours eu des relations d'affaires, pragmatiques mais aussi de confiance avec l'actuel président des États-Unis", a déclaré le président russe, qui s'est par ailleurs rallié à l'allégation de Donald Trump selon laquelle l'élection présidentielle de 2020 lui aurait été "volée".
De nombreux fonctionnaires fédéraux et locaux, des tribunaux, ainsi que d'anciens membres de l'équipe de campagne et même son propre procureur général ont pourtant tous déclaré qu'il n'y avait aucune preuve de fraude électorale en 2020.
Lors de sa campagne électorale de 2024, Donald Trump a déclaré qu'il pourrait mettre fin à la guerre en Ukraine "en un jour" et a critiqué l'administration de Joe Biden pour avoir dépensé des milliards de dollars en aide militaire et économique à Kyiv.
Les relations de Donald Trump avec Vladimir Poutine font l'objet d'une attention particulière depuis sa campagne présidentielle de 2016, lorsqu'il a demandé à la Russie de retrouver et de rendre publics des courriels supprimés par Hillary Clinton, son adversaire démocrate.
Le président américain s'est par ailleurs publiquement rangé du côté de son homologue russe - au détriment des responsables du renseignement américain - face aux suspicions d'ingérence russe dans l'élection de 2016, et Donald Trump a fait l'éloge de Vladimir Poutine, le qualifiant même de "plutôt intelligent" pour avoir envahi l'Ukraine.
"Nous allons parler et je pense que nous ferons peut-être quelque chose d'important", a déclaré Donald Trump aux journalistes dans le bureau ovale de la Maison-Blanche. "Nous voulons mettre fin à cette guerre. Cette guerre n'aurait pas commencé si j'avais été président".
Donald Trump n'a pas précisé qui, au sein de son administration, avait été en contact avec Moscou, mais il affirme que les deux parties sont "déjà en train de se parler".
Lorsqu'on lui a demandé s'il avait déjà parlé directement avec Vladimir Poutine, le président américain s'est contenté de répondre : "Je ne veux pas le dire".
Donald Trump a répété à maintes reprises qu'il n'aurait pas permis le déclenchement du conflit s'il avait été au pouvoir, alors même qu'il était président au moment où les combats se multipliaient dans l'est de l'Ukraine entre les forces de Kyiv et les séparatistes soutenus par Moscou, avant que Vladimir Poutine n'envoie des dizaines de milliers de soldats en février 2022.
Donald Trump critique Volodymyr Zelensky et l'administration de Joe Biden
Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump a critiqué le président ukrainien Volodymyr Zelensky, affirmant qu'il aurait dû conclure un accord avec Vladimir Poutine pour éviter le conflit.
L'Ukraine dépend actuellement des États-Unis pour environ 40 % de ses besoins militaires ; depuis février 2022, Washington a envoyé à Kyiv plus de 65 milliards de dollars (62 milliards d'euros).
Dans une récente interview accordée à la télévision publique russe, Vladimir Poutine a fait l'éloge de Donald Trump, le qualifiant d'"homme intelligent et pragmatique" qui se concentre sur les intérêts des États-Unis.
"Nous avons toujours eu des relations d'affaires, pragmatiques mais aussi de confiance avec l'actuel président des États-Unis", a déclaré le président russe, qui s'est par ailleurs rallié à l'allégation de Donald Trump selon laquelle l'élection présidentielle de 2020 lui aurait été "volée".
De nombreux fonctionnaires fédéraux et locaux, des tribunaux, ainsi que d'anciens membres de l'équipe de campagne et même son propre procureur général ont pourtant tous déclaré qu'il n'y avait aucune preuve de fraude électorale en 2020.
Lors de sa campagne électorale de 2024, Donald Trump a déclaré qu'il pourrait mettre fin à la guerre en Ukraine "en un jour" et a critiqué l'administration de Joe Biden pour avoir dépensé des milliards de dollars en aide militaire et économique à Kyiv.
Les relations de Donald Trump avec Vladimir Poutine font l'objet d'une attention particulière depuis sa campagne présidentielle de 2016, lorsqu'il a demandé à la Russie de retrouver et de rendre publics des courriels supprimés par Hillary Clinton, son adversaire démocrate.
Le président américain s'est par ailleurs publiquement rangé du côté de son homologue russe - au détriment des responsables du renseignement américain - face aux suspicions d'ingérence russe dans l'élection de 2016, et Donald Trump a fait l'éloge de Vladimir Poutine, le qualifiant même de "plutôt intelligent" pour avoir envahi l'Ukraine.
