Ses collaborateurs disent de lui qu'il est convivial et très accessible. Certains de ses proches le trouvent parfois fatiguant, tant il déborde d'énergie. "C'est un fonceur, un baroudeur au travail" témoigne un de ses hommes de confiance.
Silhouette fine et visage amène, Serigne Malick Dieng ne semble jamais fatigué. Il préside sa firme spécialisée dans le bâtiment et pas moins de deux "Dahiras" Mouride dont l'un se trouve à Thiaroye Azur, assure depuis des années pas moins de 500 boeufs qu'il offre annuellement à l'occasion du grand Magal de Touba à son vénéré guide spirituel, le regretté Serigne Sidy Mokhtar Mbacké.
"Je ne cherche pas à ce que ça soit médiatisé car je ne veux pas, du tout alors de publicité. Sans prétention, Serigne Touba m'a déjà promu. Ce qui me préoccupe, c'est de rester mouride sadikh mais aussi et surtout participer au développement de mon pays", explique -t-il dans un sourire d'éternel jeune homme.
Très impliqué dans son entreprise ,Malick Dieng, comme on le surnomme affectueusement, s'investit aussi beaucoup dans sa profession d'entrepreneur.
A 50 ans révolus, il a déjà beaucoup oeuvré pour transformer le centre de sport des pandores de la caserne Samba Diéry Diallo. C'est à son actif, le tribunal de Ziguinchor entre autres gros boulots menés sur le terrain, pas à pas, avec discrétion et simplicité.
"Le défunt khalif (ndlr: Serigne Cheikh Sidy) le surnommait d'ailleurs mon fils; tellement il était proche du saint homme. Je vous dis, une fois j'ai entendu Cheikh Sidy Mokhtar lui dire: "yaay sama domou khool nguaa". Pour ainsi dire que Serigne Malick est un des plus proches du khalif et il pouvait bien bomber le torse, mais il ne le fait pas. Beaucoup de gens le croisent dans la rue sans le reconnaitre, tellement il fait tout pour passer inaperçu. Ce qui l'intéresse, c'est Serigne Touba, son travail, le rayonnement du Sénégal bref, c'est un bosseur très sociable" tient à témoigner un chambellan du khalif général des mourides.
Silhouette fine et visage amène, Serigne Malick Dieng ne semble jamais fatigué. Il préside sa firme spécialisée dans le bâtiment et pas moins de deux "Dahiras" Mouride dont l'un se trouve à Thiaroye Azur, assure depuis des années pas moins de 500 boeufs qu'il offre annuellement à l'occasion du grand Magal de Touba à son vénéré guide spirituel, le regretté Serigne Sidy Mokhtar Mbacké.
"Je ne cherche pas à ce que ça soit médiatisé car je ne veux pas, du tout alors de publicité. Sans prétention, Serigne Touba m'a déjà promu. Ce qui me préoccupe, c'est de rester mouride sadikh mais aussi et surtout participer au développement de mon pays", explique -t-il dans un sourire d'éternel jeune homme.
Très impliqué dans son entreprise ,Malick Dieng, comme on le surnomme affectueusement, s'investit aussi beaucoup dans sa profession d'entrepreneur.
A 50 ans révolus, il a déjà beaucoup oeuvré pour transformer le centre de sport des pandores de la caserne Samba Diéry Diallo. C'est à son actif, le tribunal de Ziguinchor entre autres gros boulots menés sur le terrain, pas à pas, avec discrétion et simplicité.
"Le défunt khalif (ndlr: Serigne Cheikh Sidy) le surnommait d'ailleurs mon fils; tellement il était proche du saint homme. Je vous dis, une fois j'ai entendu Cheikh Sidy Mokhtar lui dire: "yaay sama domou khool nguaa". Pour ainsi dire que Serigne Malick est un des plus proches du khalif et il pouvait bien bomber le torse, mais il ne le fait pas. Beaucoup de gens le croisent dans la rue sans le reconnaitre, tellement il fait tout pour passer inaperçu. Ce qui l'intéresse, c'est Serigne Touba, son travail, le rayonnement du Sénégal bref, c'est un bosseur très sociable" tient à témoigner un chambellan du khalif général des mourides.