« Il dit que j’ai un agenda. À la veille de la présidentielle, on m’a appelé pour me dire que je fais partie de la liste restreinte de personnes qui devraient être candidat, si la candidature du Président Ousmane Sonko venait à être invalidée. C’était 5 à 6 mois avant la présidentielle de 2024.
Je leur ai répondu que, je suis d’accord. Mais, à une condition que, si jamais je devenais président de la République du Sénégal, d’organiser des élections 6 à 10 mois après pour permettre à Ousmane Sonko d’être candidat.
C’était cela ma condition. C’est cela mon agenda. Et c’est toujours cela ma position d’aujourd’hui. Mon agenda c’est de ne pas entacher la réputation de mon parti. Parce que ce que je dénonce depuis 3 ans (Ndlr : affaire Soukeru Kor) c’est pour que demain, ceux qui étaient là au pouvoir, disent aux sénégalais que nous sommes comme eux.»
Igfm
Je leur ai répondu que, je suis d’accord. Mais, à une condition que, si jamais je devenais président de la République du Sénégal, d’organiser des élections 6 à 10 mois après pour permettre à Ousmane Sonko d’être candidat.
C’était cela ma condition. C’est cela mon agenda. Et c’est toujours cela ma position d’aujourd’hui. Mon agenda c’est de ne pas entacher la réputation de mon parti. Parce que ce que je dénonce depuis 3 ans (Ndlr : affaire Soukeru Kor) c’est pour que demain, ceux qui étaient là au pouvoir, disent aux sénégalais que nous sommes comme eux.»
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