
Selon ses propos, un agent de police l’a contacté le 6 juin pour une convocation le jour même, sans fournir ni motif ni document officiel. Ce n’est que trois jours plus tard, ce lundi à 17 h 35, qu’il aurait reçu la convocation écrite remise par un délégué de quartier.
Dans un texte publié sur ses réseaux, Moustapha Diakhaté assimile cette convocation à une répression politique orchestrée par le régime actuel, qu’il qualifie de « fasciste ». Il accuse le parti au pouvoir, Pastef, de mener une « politique d’épuration » visant à éliminer toute opposition, à faire taire la presse indépendante et à fragiliser l’État de droit.
Il évoque des références historiques lourdes de sens, notamment l’ascension du nazisme en Allemagne, pour alerter sur ce qu’il perçoit comme une dérive autoritaire au Sénégal. Diakhaté cite également Noam Chomsky pour justifier sa position de résistance : « Les droits ne sont pas accordés ; ils sont pris par la force. »
Fidèle à sa posture d’opposant résolu, il affirme qu’aucune convocation ni éventuelle condamnation ne le détournera de ce qu’il appelle son « combat contre le pouvoir fasciste ».
seneweb
Dans un texte publié sur ses réseaux, Moustapha Diakhaté assimile cette convocation à une répression politique orchestrée par le régime actuel, qu’il qualifie de « fasciste ». Il accuse le parti au pouvoir, Pastef, de mener une « politique d’épuration » visant à éliminer toute opposition, à faire taire la presse indépendante et à fragiliser l’État de droit.
Il évoque des références historiques lourdes de sens, notamment l’ascension du nazisme en Allemagne, pour alerter sur ce qu’il perçoit comme une dérive autoritaire au Sénégal. Diakhaté cite également Noam Chomsky pour justifier sa position de résistance : « Les droits ne sont pas accordés ; ils sont pris par la force. »
Fidèle à sa posture d’opposant résolu, il affirme qu’aucune convocation ni éventuelle condamnation ne le détournera de ce qu’il appelle son « combat contre le pouvoir fasciste ».
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