La commission électorale polonaise donne vainqueur du second tour de l’élection présidentielle polonaise le nationaliste Karol Nawrocki
Karol Nawrocki a remporté 50,89 % des scrutins, contre 49,11 % pour Rafal Trzaskowsk.
L'historien Karol Nawrocki, candidat du camp national conservateur, semble avoir une longueur d'avance dans une élection présidentielle serrée en Pologne, après qu'un dernier sondage à la sortie des urnes a infirmé un résultat antérieur qui donnait une victoire de justesse à son rival, le maire libéral de Varsovie Rafal Trzaskowski.
Le vainqueur succédera à l'actuel chef de l'État, Andrzej Duda, dont le second et dernier mandat présidentiel arrive à son terme. La question à laquelle était confrontés les quelque 29 millions d'électeurs polonais était de savoir s'ils souhaitaient mettre fin à la cohabitation entre le camp national conservateur, à la présidence, et le gouvernement libéral du Premier ministre Donald Tusk – ou la prolonger.
Bien que la Pologne soit une démocratie parlementaire, le président joue un rôle important dans la vie politique du pays. Il est le commandant suprême des Forces armées, il détient un droit de veto et détermine la politique étrangère.
Le second tour de ce dimanche faisait suite à un premier tour très disputé le 18 mai, au cours duquel le candidat de Plate-forme civique (PO) Rafał Trzaskowski a obtenu un peu plus de 31 % et son rival du PiS, Karol Nawrocki, près de 30 %, ce qui a permis d'éliminer 11 autres candidats.
La campagne a mis en évidence les différences idéologiques marquées entre les candidats.
Karol Nawrocki, 42 ans, qui se présente comme un défenseur des valeurs polonaises traditionnelles, s'est fait un nom en tant qu'eurosceptique. Il a bénéficié du soutien public des conservateurs américains et du président américain Donald Trump en personne.
Rafał Trzaskowski, 53 ans, considéré comme un proche de Donald Tusk, avait promis de restaurer l'indépendance de la justice, d'assouplir les restrictions sur l'avortement et de rétablir des liens constructifs avec les partenaires européens.
Karol Nawrocki a remporté 50,89 % des scrutins, contre 49,11 % pour Rafal Trzaskowsk.
L'historien Karol Nawrocki, candidat du camp national conservateur, semble avoir une longueur d'avance dans une élection présidentielle serrée en Pologne, après qu'un dernier sondage à la sortie des urnes a infirmé un résultat antérieur qui donnait une victoire de justesse à son rival, le maire libéral de Varsovie Rafal Trzaskowski.
Le vainqueur succédera à l'actuel chef de l'État, Andrzej Duda, dont le second et dernier mandat présidentiel arrive à son terme. La question à laquelle était confrontés les quelque 29 millions d'électeurs polonais était de savoir s'ils souhaitaient mettre fin à la cohabitation entre le camp national conservateur, à la présidence, et le gouvernement libéral du Premier ministre Donald Tusk – ou la prolonger.
Bien que la Pologne soit une démocratie parlementaire, le président joue un rôle important dans la vie politique du pays. Il est le commandant suprême des Forces armées, il détient un droit de veto et détermine la politique étrangère.
Le second tour de ce dimanche faisait suite à un premier tour très disputé le 18 mai, au cours duquel le candidat de Plate-forme civique (PO) Rafał Trzaskowski a obtenu un peu plus de 31 % et son rival du PiS, Karol Nawrocki, près de 30 %, ce qui a permis d'éliminer 11 autres candidats.
La campagne a mis en évidence les différences idéologiques marquées entre les candidats.
Karol Nawrocki, 42 ans, qui se présente comme un défenseur des valeurs polonaises traditionnelles, s'est fait un nom en tant qu'eurosceptique. Il a bénéficié du soutien public des conservateurs américains et du président américain Donald Trump en personne.
Rafał Trzaskowski, 53 ans, considéré comme un proche de Donald Tusk, avait promis de restaurer l'indépendance de la justice, d'assouplir les restrictions sur l'avortement et de rétablir des liens constructifs avec les partenaires européens.