
Vendredi 01 aout 2025, le Premier ministre Ousmane SONKO a présenté un nouveau plan de redressement économique pour le Sénégal (PRES), promettant de financer 90% de cette démarche à partir des ressources nationales et d’éviter toute nouvelle dette.
Cependant, la République des valeurs (RV) ce qui a été livré tient davantage d’un exercice de communication que « d’un réel plan d’action fondé sur la prévision. »
En effet, pour la formation politique, ce plan n’a aucun rattachement institutionnel clair, manque de rigueur formelle et n’a aucune mesure vérifiable. « À ce niveau d’impréparation, il ne s’agit plus d’erreurs, mais d’un manque de respect pour les exigences de gouvernance. Le Sénégal ne mérite pas des présentations inabouties, mais un véritable plan de transformation avec des outils de suivi et d’évaluation », peut-on lire dans le communiqué parvenu à Walfnet.
Sur le fond aussi la RV/Réewum Ngor, affirme que le document présente « un plan désarticulé, à haut risque. » Car il comporte des hypothèses économiques irréalistes et un financement opaque et potentiellement risqué. En plus de ces éléments, la RV relève une fiscalité déséquilibrée dans ce plan.
« Les promesses de rupture avec l’ancien système s’évanouissent les unes après les autres. Les fonds politiques décriés pendant la campagne sont toujours là, à des niveaux record. L’expression «austérité raisonnée» dans ce plan sonne comme «dictature bienveillante» : réduire le train de vie de l’État tout en maintenant les fastes protocolaires, c’est comme suivre un régime en gardant les desserts », déplore la RV.
Devant cette situation, la RV/Réewum Ngor formule des suggestions. Pour le parti politique, il est important d’établir un cadre clair et un contrat de vérité avec les sénégalais. Ceci passe, selon la RV par une gestion budgétaire rigoureuse et transparente, par un état sobre, par une réindustrialisation ciblée…
En fin de compte, la République des valeurs demande au gouvernement de mettre en place « un grand débat national sur ses orientations, son financement et sa méthode pour que le redressement commun ne soit pas un slogan, mais une réalité vécue. »
Walf
Cependant, la République des valeurs (RV) ce qui a été livré tient davantage d’un exercice de communication que « d’un réel plan d’action fondé sur la prévision. »
En effet, pour la formation politique, ce plan n’a aucun rattachement institutionnel clair, manque de rigueur formelle et n’a aucune mesure vérifiable. « À ce niveau d’impréparation, il ne s’agit plus d’erreurs, mais d’un manque de respect pour les exigences de gouvernance. Le Sénégal ne mérite pas des présentations inabouties, mais un véritable plan de transformation avec des outils de suivi et d’évaluation », peut-on lire dans le communiqué parvenu à Walfnet.
Sur le fond aussi la RV/Réewum Ngor, affirme que le document présente « un plan désarticulé, à haut risque. » Car il comporte des hypothèses économiques irréalistes et un financement opaque et potentiellement risqué. En plus de ces éléments, la RV relève une fiscalité déséquilibrée dans ce plan.
« Les promesses de rupture avec l’ancien système s’évanouissent les unes après les autres. Les fonds politiques décriés pendant la campagne sont toujours là, à des niveaux record. L’expression «austérité raisonnée» dans ce plan sonne comme «dictature bienveillante» : réduire le train de vie de l’État tout en maintenant les fastes protocolaires, c’est comme suivre un régime en gardant les desserts », déplore la RV.
Devant cette situation, la RV/Réewum Ngor formule des suggestions. Pour le parti politique, il est important d’établir un cadre clair et un contrat de vérité avec les sénégalais. Ceci passe, selon la RV par une gestion budgétaire rigoureuse et transparente, par un état sobre, par une réindustrialisation ciblée…
En fin de compte, la République des valeurs demande au gouvernement de mettre en place « un grand débat national sur ses orientations, son financement et sa méthode pour que le redressement commun ne soit pas un slogan, mais une réalité vécue. »
Walf