
Ce retrait intervient deux mois après l’annonce de la rupture de l’accord de défense entre Paris et N’Djamena. Le Tchad était jusqu’ici l’un des derniers pays d’Afrique centrale à accueillir une présence militaire française significative, avec environ 1 000 soldats stationnés sur son sol.
La France avait déjà cédé deux autres bases militaires, à Faya au nord et à Abéché à l’est, entre décembre et janvier. Ce départ s’inscrit dans une dynamique plus large : après le Mali, le Burkina Faso et le Niger, le Tchad acte à son tour la fin de la coopération militaire avec Paris. En décembre, la Côte d’Ivoire et le Sénégal ont également annoncé le retrait des troupes françaises.
Face à cette évolution, le chef d’état-major de l’armée tchadienne, Abakar Abdelkerim Daoud, a affirmé que son pays était prêt à assumer seul ses responsabilités en matière de défense.
africanews
La France avait déjà cédé deux autres bases militaires, à Faya au nord et à Abéché à l’est, entre décembre et janvier. Ce départ s’inscrit dans une dynamique plus large : après le Mali, le Burkina Faso et le Niger, le Tchad acte à son tour la fin de la coopération militaire avec Paris. En décembre, la Côte d’Ivoire et le Sénégal ont également annoncé le retrait des troupes françaises.
Face à cette évolution, le chef d’état-major de l’armée tchadienne, Abakar Abdelkerim Daoud, a affirmé que son pays était prêt à assumer seul ses responsabilités en matière de défense.
africanews