Tribunal de Pikine - Guédiawaye / le juge à Ahmed Aïdara : « Le droit, ce n’est ni dans les revues de presse ni sur les plateaux de télé »
C’est parfois des échanges assez tendus lors des interrogatoires dans le cadre du procès d’Ahmed Aïdara avec les huit autres prévenus interpellés le vendredi 17 juin. Après les huit prévenus, Ahmed Aïdara a répondu au feu roulant des questions.
Mais le juge invite les prévenus, de même que les avocats à dépassionner le débat. « Nous ne sommes pas dans un procès de Yewwi Askan Wi contre telle autre entité politique. Ici, le droit doit se dire et en toute impartialité. Nous sommes tenus à le dire. Ce n’est ni dans les revues de presse, ni dans les plateaux de télé où il doit se dire… », a lancé le juge devant le maire de la ville de Guédiawaye, Ahmed Aïdara. Les plaidoiries se poursuivent toujours dans la salle nouvellement inaugurée par le maire présentement en face du juge.
Mais le juge invite les prévenus, de même que les avocats à dépassionner le débat. « Nous ne sommes pas dans un procès de Yewwi Askan Wi contre telle autre entité politique. Ici, le droit doit se dire et en toute impartialité. Nous sommes tenus à le dire. Ce n’est ni dans les revues de presse, ni dans les plateaux de télé où il doit se dire… », a lancé le juge devant le maire de la ville de Guédiawaye, Ahmed Aïdara. Les plaidoiries se poursuivent toujours dans la salle nouvellement inaugurée par le maire présentement en face du juge.
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