
Des zones d’ombres subsistent encore dans la triste affaire qui secoue le village de Ouakam, précisément aux Mamelles, mais les langues commencent à se délier. Selon les sources de dakarposte, le douanier qui a tué sa fille "était sous l’emprise de forces obscures". Après avoir accompli son forfait, il aurait dit à sa femme qu’il a agi sur un "Ndigueul", un ordre venu d’on ne sait où. Mais il est établi que l’homme était un fervent talibé de feu Serigne Mansour Sy Borom Daradji et, c’est ce qui explique ainsi que sa fille égorgée, une jumelle, s’appelait Mansoura. L’homme semblait bizarre depuis un certain temps et avait d'ailleurs pris quelques jours de ...congés .
Curieusement, les faits se sont déroulés le dimanche aux environs de... 3 heures du matin mais, ce n’est que le lendemain, lundi dans l’après-midi qu’il s’est rendu de son propre chef (comme révélé en exclusivité par dakarposte) à la gendarmerie pour avouer son crime. Certains de ses proches croient qu’il a été envoûté tandis que d’autres suggèrent qu’il a eu une folie soudaine. "Assez pieux, il passe tout son temps, du moins souvent à faire du zikr" glisse une source, vieille connaissance du lieutenant-colonel, rendu tristement célèbre pour cette affaire de meurtre connue de tous. Toujours est-il que des zones d’ombres existent, qui pourraient compliquer la tâche aux enquêteurs.
Curieusement, les faits se sont déroulés le dimanche aux environs de... 3 heures du matin mais, ce n’est que le lendemain, lundi dans l’après-midi qu’il s’est rendu de son propre chef (comme révélé en exclusivité par dakarposte) à la gendarmerie pour avouer son crime. Certains de ses proches croient qu’il a été envoûté tandis que d’autres suggèrent qu’il a eu une folie soudaine. "Assez pieux, il passe tout son temps, du moins souvent à faire du zikr" glisse une source, vieille connaissance du lieutenant-colonel, rendu tristement célèbre pour cette affaire de meurtre connue de tous. Toujours est-il que des zones d’ombres existent, qui pourraient compliquer la tâche aux enquêteurs.