L’ancien Directeur général du COUD, actuellement Président du Conseil d’administration de la Société d’aménagement et d’exploitation des terres du Delta (SAED) n’obtiendra pas la liberté provisoire requise par ses avocats. La chambre d’accusation a confirmé l’ordonnance du juge d’instruction qui avait rejeté sa demande de mise en liberté.
Les choses se corsent donc pour ce responsable de l’APR qui avait été accusé de viol par sa domestique au lendemain de la Tabaski.
Placé sous mandat de dépôt depuis sa première audition, ses avocats s’étaient échinés à le faire libérer, croyant sans doute que sa fonction et ses responsabilités au sein du parti présidentiel pourraient influence le juge. Cela n’a pas été le cas. Ce jeudi, la chambre d’accusation a confirmé le rejet de cette demande qui avait été décidée par le juge d’instruction.
Les choses risquent donc de se corser pour ce dignitaire du régime qui risque une forte condamnation s’il est reconnu coupable et, pour l’heure, tout porte à croire qu’il aura des difficultés pour se tirer d’affaire tant les accusations sont précises et les preuves contre lui s’accumulent.
Mais ,ses avocats ne lâchent rien. Ils vont retourner voir le magistrat instructeur et présenter de nouveaux arguments avec l’espoir d’obtenir, cette fois-ci, la liberté provisoire pour leur client. Sitor Ndour pourra-t-il s’en sortir sans passer par la case prison ? Voire.
clounjay@yahoo.fr
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Les choses se corsent donc pour ce responsable de l’APR qui avait été accusé de viol par sa domestique au lendemain de la Tabaski.
Placé sous mandat de dépôt depuis sa première audition, ses avocats s’étaient échinés à le faire libérer, croyant sans doute que sa fonction et ses responsabilités au sein du parti présidentiel pourraient influence le juge. Cela n’a pas été le cas. Ce jeudi, la chambre d’accusation a confirmé le rejet de cette demande qui avait été décidée par le juge d’instruction.
Les choses risquent donc de se corser pour ce dignitaire du régime qui risque une forte condamnation s’il est reconnu coupable et, pour l’heure, tout porte à croire qu’il aura des difficultés pour se tirer d’affaire tant les accusations sont précises et les preuves contre lui s’accumulent.
Mais ,ses avocats ne lâchent rien. Ils vont retourner voir le magistrat instructeur et présenter de nouveaux arguments avec l’espoir d’obtenir, cette fois-ci, la liberté provisoire pour leur client. Sitor Ndour pourra-t-il s’en sortir sans passer par la case prison ? Voire.
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