Anne Hidalgo, la maire PS de Paris, redoutait dans nos colonnes d’éventuelles dégradations dans Paris. Les casseurs lui ont donné raison lors de la manifestation des Gilets jaunes ce samedi sur les Champs-Elysées (VIIIe) ou avenue de Friedland. Non seulement, ils s’en sont pris aux commerces et aux palissades de chantiers mais aussi au mobilier urbain.
Mais ce dimanche matin, du moins sur les Champs, le plus gros des barricades et des déchets avait disparu. La raison ? L’intervention, dès 21 heures samedi et pendant toute la nuit, de quelque 200 hommes et femmes du service propreté de la Ville. Leur travail en équipes se poursuit ce dimanche sur toutes les avenues qui partent du rond-point de l’Etoile, comme la Grande armée (XVIe - XVIIe) ou encore avenue Kléber (XVIe).
« Nous avons, comme pour un épisode neigeux, mobilisé toutes les personnes d’astreinte, souligne Paul Simondon le nouvel adjoint en charge de la propreté de la maire. La Ville avait anticipé. Nous attendions simplement le feu vert des forces de l’ordre pour intervenir et nettoyer. Nous avons mis une quinzaine d’engins en service pour cette intervention sur les Champs-Elysées. »
Armés de balais, de laveuses de chaussées, de pelleteuses, les agents municipaux ont ainsi rempli et rempli d’énormes bennes pour tenter de redonner au plus vite un aspect accueillant à ces différents lieux. « L’objectif premier était quand même de pouvoir y rétablir la circulation et de dégager tous les obstacles présents sur les voies de circulation », explique l’élu qui a passé le début de soirée avec ses équipes.
Encore plusieurs jours de nettoyage
Mais pour redonner au quartier un aspect « propre », il faudra encore plusieurs jours. En effet, des abribus JCDecaux ont été vandalisés, des conteneurs à verre renverser sur la chaussée et toutes les barrières de l’énorme chantier du chauffage parisien dans le XVIe arrondissement ont été utilisées pour bloquer les routes. En ce début de semaine, le service propreté sera encore sur la brèche pour effacer les stigmates d’une journée de lutte.
Voilà en tout cas un baptême du feu impressionnant pour Paul Simondon — élu PS du Xe — qui venait tout juste, il y a une dizaine de jours être nommé, en Conseil de Paris, adjoint à la propreté après la démission de son prédécesseur Mao Péninou. Reste à savoir si le samedi 1er décembre ses équipes seront encore mobilisées pour un éventuel nouveau rassemblement.
Mais ce dimanche matin, du moins sur les Champs, le plus gros des barricades et des déchets avait disparu. La raison ? L’intervention, dès 21 heures samedi et pendant toute la nuit, de quelque 200 hommes et femmes du service propreté de la Ville. Leur travail en équipes se poursuit ce dimanche sur toutes les avenues qui partent du rond-point de l’Etoile, comme la Grande armée (XVIe - XVIIe) ou encore avenue Kléber (XVIe).
« Nous avons, comme pour un épisode neigeux, mobilisé toutes les personnes d’astreinte, souligne Paul Simondon le nouvel adjoint en charge de la propreté de la maire. La Ville avait anticipé. Nous attendions simplement le feu vert des forces de l’ordre pour intervenir et nettoyer. Nous avons mis une quinzaine d’engins en service pour cette intervention sur les Champs-Elysées. »
Armés de balais, de laveuses de chaussées, de pelleteuses, les agents municipaux ont ainsi rempli et rempli d’énormes bennes pour tenter de redonner au plus vite un aspect accueillant à ces différents lieux. « L’objectif premier était quand même de pouvoir y rétablir la circulation et de dégager tous les obstacles présents sur les voies de circulation », explique l’élu qui a passé le début de soirée avec ses équipes.
Encore plusieurs jours de nettoyage
Mais pour redonner au quartier un aspect « propre », il faudra encore plusieurs jours. En effet, des abribus JCDecaux ont été vandalisés, des conteneurs à verre renverser sur la chaussée et toutes les barrières de l’énorme chantier du chauffage parisien dans le XVIe arrondissement ont été utilisées pour bloquer les routes. En ce début de semaine, le service propreté sera encore sur la brèche pour effacer les stigmates d’une journée de lutte.
Voilà en tout cas un baptême du feu impressionnant pour Paul Simondon — élu PS du Xe — qui venait tout juste, il y a une dizaine de jours être nommé, en Conseil de Paris, adjoint à la propreté après la démission de son prédécesseur Mao Péninou. Reste à savoir si le samedi 1er décembre ses équipes seront encore mobilisées pour un éventuel nouveau rassemblement.