La partie civile réclame 150 millions
Auparavant, l’avocat de la partie civile a pris la parole. La robe noire réclame 150 millions de francs à l’actuel maire de Mermoz Sacré-Cœur à titre de dommages et intérêts. "Je pense que le jugement rendu ne peut pas être résumé à un coup mortel. Pour nous, il y’a eu meurtre. Nous avons fait appel parce qu’on avait demandé 150 millions. C’est vrai que la vie humaine n’a pas de valeur", a déclaré l’avocat qui sollicite de la Cour la requalification des faits en meurtre à défaut de confirmer la décision rendue en première instance. Avant de finir, il a réitéré les 150 millions réclamés en première instance à tire de dommages et intérêts. Les avocats de Barthélemy Dias ont plaidé le renvoi des fins de la poursuite. Parce qu’ils demeurent convaincus que la balle qui a atteint Ndiaga Diouf n’est pas venue de leur client. Ce n’est pas tout parce que les avocats demandent également que la partie civile soit déboutée.
Barthélemy Dias saura sur quel pied danser le 18 mai prochain, date du délibéré.
Auparavant, l’avocat de la partie civile a pris la parole. La robe noire réclame 150 millions de francs à l’actuel maire de Mermoz Sacré-Cœur à titre de dommages et intérêts. "Je pense que le jugement rendu ne peut pas être résumé à un coup mortel. Pour nous, il y’a eu meurtre. Nous avons fait appel parce qu’on avait demandé 150 millions. C’est vrai que la vie humaine n’a pas de valeur", a déclaré l’avocat qui sollicite de la Cour la requalification des faits en meurtre à défaut de confirmer la décision rendue en première instance. Avant de finir, il a réitéré les 150 millions réclamés en première instance à tire de dommages et intérêts. Les avocats de Barthélemy Dias ont plaidé le renvoi des fins de la poursuite. Parce qu’ils demeurent convaincus que la balle qui a atteint Ndiaga Diouf n’est pas venue de leur client. Ce n’est pas tout parce que les avocats demandent également que la partie civile soit déboutée.
Barthélemy Dias saura sur quel pied danser le 18 mai prochain, date du délibéré.