
El Malick NDIAYE, président de l’Assemblée nationale, a été auditionné par la Division des investigations criminelles (DIC) dans le cadre de l’enquête sur la diffusion présumée de fausses informations concernant un marché public relatif à l’achat de véhicules pour les députés.
Selon Libération, qui rapporte les détails de l’audition, la deuxième personnalité de l’État a dénoncé une campagne de désinformation visant à porter atteinte à l’image de l’Assemblée nationale et à la sienne. Il met en cause le journaliste et chroniqueur Bachir FOFANA, qu’il accuse d’avoir affirmé que le marché avait été attribué à Cheikh GUEYE, une personne sous contrôle judiciaire pour corruption présumée.
Dans sa déclaration, le président de l’Assemblée nationale affirme que « ces allégations mensongères, massivement relayées sur les réseaux sociaux, jettent un anathème injuste sur l’institution parlementaire ». Il évoque une volonté
délibérée de ternir l’élan de transparence qu’il dit avoir engagé depuis sa prise de fonction.
Il déclare notamment : « Des individus malintentionnés s’évertuent à diffuser de fausses nouvelles, notamment sur l’acquisition de véhicules par l’Assemblée nationale. » Selon lui, « associer l’institution parlementaire à une procédure judiciaire en cours est non seulement faux, mais aussi attentatoire à sa crédibilité. »
Se fondant sur les articles 255 et 260 du Code pénal, le président de l’Assemblée nationale a déposé plainte pour diffusion de fausses nouvelles et diffamation contre Bachir FOFANA ainsi que contre d’éventuels complices et commanditaires.
Le journaliste, placé sous mandat de dépôt, doit être jugé mercredi prochain.
walf
Selon Libération, qui rapporte les détails de l’audition, la deuxième personnalité de l’État a dénoncé une campagne de désinformation visant à porter atteinte à l’image de l’Assemblée nationale et à la sienne. Il met en cause le journaliste et chroniqueur Bachir FOFANA, qu’il accuse d’avoir affirmé que le marché avait été attribué à Cheikh GUEYE, une personne sous contrôle judiciaire pour corruption présumée.
Dans sa déclaration, le président de l’Assemblée nationale affirme que « ces allégations mensongères, massivement relayées sur les réseaux sociaux, jettent un anathème injuste sur l’institution parlementaire ». Il évoque une volonté
délibérée de ternir l’élan de transparence qu’il dit avoir engagé depuis sa prise de fonction.
Il déclare notamment : « Des individus malintentionnés s’évertuent à diffuser de fausses nouvelles, notamment sur l’acquisition de véhicules par l’Assemblée nationale. » Selon lui, « associer l’institution parlementaire à une procédure judiciaire en cours est non seulement faux, mais aussi attentatoire à sa crédibilité. »
Se fondant sur les articles 255 et 260 du Code pénal, le président de l’Assemblée nationale a déposé plainte pour diffusion de fausses nouvelles et diffamation contre Bachir FOFANA ainsi que contre d’éventuels complices et commanditaires.
Le journaliste, placé sous mandat de dépôt, doit être jugé mercredi prochain.
walf