El Hadji Ndiaye est l’individu qui possède le premier édifice en péril qui a été rasé sur le marché Ocass de Touba, conformément aux suggestions du préfet de Mbacké. Selon les dires du chef de l’exécutif local, El Hadji Ndiaye avait pris l’initiative de détruire volontairement ce bâtiment nommé El Hadji Mbacké Bébé. Dans ce cadre, le préfet de Mbacké, Khadim Hann, a souligné que ces opérations de démolition se font en collaboration avec les propriétaires des édifices.
À cet effet, il a exprimé son admiration pour l’esprit patriotique et de responsabilité d’El Hadji Ndiaye. D’après lui, toutes les communautés devraient s’inspirer de ce modèle. « Nous avons accompagné le propriétaire qui s’était engagé volontairement à démolir le bâtiment. Nous voulons le remercier par rapport à cet acte, à cet esprit de responsabilité. Et, également, inviter toutes les populations, tous les citoyens qui sont propriétaires de vétustes à s’inspirer de cet exemple », a déclaré M. Hann, indiquant qu’il a choisi de démolir la structure plutôt que de la laisser s’écrouler sur des habitants.
L’inventaire des bâtiments en ruine déjà entamé
Ces travaux de destruction de structures en ruine dans la ville de Touba ont lieu alors que deux édifices en chantier se sont écroulés récemment, entraînant la mort de 14 personnes en l’espace d’un mois. Afin de prévenir de tels événements à l’avenir, Khadim Hann a souligné qu’un inventaire des bâtiments avait été commencé il y a quelques mois et que les résultats ont été envoyés aux autorités centrales.
De plus, M. Hann a souligné que les chutes de structures qui se sont produites récemment concernent des bâtiments en phase de construction. À ce sujet, il a déclaré qu’en collaboration avec les services centraux du ministère de l’Urbanisme, notamment l’inspection générale des bâtiments (IGB), il explore les méthodes d’examiner ces constructions afin de déterminer les démarches à entreprendre pour adopter les mesures nécessaires visant à stopper ces travaux qui présentent un danger pour les habitants.
De plus, il a déclaré que les services municipaux souhaitent obtenir un état complet des édifices en péril et, si nécessaire, envisager les mesures à adopter. En outre, si les propriétaires ne prennent pas les mesures nécessaires pour les abattre, la législation est très explicite à ce sujet : « le maire a les compétences d’engager une procédure de démolition en prenant un arrêté ».
Le Soleil
À cet effet, il a exprimé son admiration pour l’esprit patriotique et de responsabilité d’El Hadji Ndiaye. D’après lui, toutes les communautés devraient s’inspirer de ce modèle. « Nous avons accompagné le propriétaire qui s’était engagé volontairement à démolir le bâtiment. Nous voulons le remercier par rapport à cet acte, à cet esprit de responsabilité. Et, également, inviter toutes les populations, tous les citoyens qui sont propriétaires de vétustes à s’inspirer de cet exemple », a déclaré M. Hann, indiquant qu’il a choisi de démolir la structure plutôt que de la laisser s’écrouler sur des habitants.
L’inventaire des bâtiments en ruine déjà entamé
Ces travaux de destruction de structures en ruine dans la ville de Touba ont lieu alors que deux édifices en chantier se sont écroulés récemment, entraînant la mort de 14 personnes en l’espace d’un mois. Afin de prévenir de tels événements à l’avenir, Khadim Hann a souligné qu’un inventaire des bâtiments avait été commencé il y a quelques mois et que les résultats ont été envoyés aux autorités centrales.
De plus, M. Hann a souligné que les chutes de structures qui se sont produites récemment concernent des bâtiments en phase de construction. À ce sujet, il a déclaré qu’en collaboration avec les services centraux du ministère de l’Urbanisme, notamment l’inspection générale des bâtiments (IGB), il explore les méthodes d’examiner ces constructions afin de déterminer les démarches à entreprendre pour adopter les mesures nécessaires visant à stopper ces travaux qui présentent un danger pour les habitants.
De plus, il a déclaré que les services municipaux souhaitent obtenir un état complet des édifices en péril et, si nécessaire, envisager les mesures à adopter. En outre, si les propriétaires ne prennent pas les mesures nécessaires pour les abattre, la législation est très explicite à ce sujet : « le maire a les compétences d’engager une procédure de démolition en prenant un arrêté ».
Le Soleil