Nous écrivions que dans l’attente de la décision du Conseil constitutionnel relative à leurs recours, pour contester l’invalidation des candidatures de leurs leaders à la présidentielle, l’heure était à la veillée d’armes, particulièrement chez les partisans de Khalifa Sall et Karim Wade.
En tous les cas, un spectre hante le Sénégal. Loin de jouer les Cassandre, notre cher terre de la Teranga, connu pour sa légendaire hospitalité risque de basculer, comme cela s’est vu dans d’autres pays, dans l’instabilité, le chaos.
Nous écrivions que plusieurs ministres, Directeurs Généraux, députés, bref des personnalités acquis à la cause du régime du Pr Macky Sall avaient tout simplement pris leurs cliques et leurs claques. Et, c'est pour "déménager" le temps d'un week-end vers la station balnéaire de Saly Portudal, Mbodiène, Ngaparou entre autres sites touristiques pour ne pas dire havres de paix. "Certains ont même pris l'avion pour Paris et autres capitales Européennes" nous souffle une source fiable.
"Faux!" rétorque un jeune responsable de l'APR, jusqu'ici assez informé, joint par nos soins.
En tout cas, ça risquait de chauffer ce dimanche, date de la proclamation de la liste définitive des candidats au scrutin du 24 février prochain, dans les rues de Dakar, où le ton était déjà gravement monté d’un cran ces derniers jours, et au niveau des régions.
Aux fins de parer à toute éventualité, à des scènes d'émeutes qui risquent d'être sporadiques, les forces de sécurité (police/gendarmerie) ont pris les devants.
En effet, sur plusieurs points décrits névralgiques, intersections de la capitale Sénégalaise, entre autres devantures de permanences de partis opposants au pouvoir du Pr Macky Sall, sont dressés des éléments anti-émeutes prêts à... sévir. Pour ainsi dire que la répression sera exercée vigoureusement aux éventuels trublions.
Une source policière nous informe que le dispositif mixte (police/gendarmerie) déployé la veille allait rester en place dimanche soir, avec pour objectif de stabiliser la situation et d'assurer le calme.
Alors que l'obscurité avance doucement, sous le ciel étoilé de Dakar, les habitants des Almadies, particulièrement ceux habitent aux alentours du Conseil Constitutionnel, savent à quoi s'en tenir.
"La nuit du dimanche sera chaude, vraisemblablement. J'ai acheté assez de provisions pour me barricader" fait savoir une vieille connaissance rencontrée à un jet de pierre du contesté Conseil Constitutionnel.
Depuis le début de l'après-midi du dimanche, les fourgons de la gendarmerie comme de la police vont et viennent, aux abords des immeubles et des commerces de la ville, entre autres devantures de maisons et permanences d'opposants au régime marron . Policiers en civils, à moto, discrets ou franchement inquisiteurs, limiers et pandores sont omniprésents. Et, compte tenu des menaces brandies par çi et par là par les contempteurs du régime du candidat sortant, tout porte à croire que la durée de ce quadrillage sera indéterminée.
En tous les cas, un spectre hante le Sénégal. Loin de jouer les Cassandre, notre cher terre de la Teranga, connu pour sa légendaire hospitalité risque de basculer, comme cela s’est vu dans d’autres pays, dans l’instabilité, le chaos.
Nous écrivions que plusieurs ministres, Directeurs Généraux, députés, bref des personnalités acquis à la cause du régime du Pr Macky Sall avaient tout simplement pris leurs cliques et leurs claques. Et, c'est pour "déménager" le temps d'un week-end vers la station balnéaire de Saly Portudal, Mbodiène, Ngaparou entre autres sites touristiques pour ne pas dire havres de paix. "Certains ont même pris l'avion pour Paris et autres capitales Européennes" nous souffle une source fiable.
"Faux!" rétorque un jeune responsable de l'APR, jusqu'ici assez informé, joint par nos soins.
En tout cas, ça risquait de chauffer ce dimanche, date de la proclamation de la liste définitive des candidats au scrutin du 24 février prochain, dans les rues de Dakar, où le ton était déjà gravement monté d’un cran ces derniers jours, et au niveau des régions.
Aux fins de parer à toute éventualité, à des scènes d'émeutes qui risquent d'être sporadiques, les forces de sécurité (police/gendarmerie) ont pris les devants.
En effet, sur plusieurs points décrits névralgiques, intersections de la capitale Sénégalaise, entre autres devantures de permanences de partis opposants au pouvoir du Pr Macky Sall, sont dressés des éléments anti-émeutes prêts à... sévir. Pour ainsi dire que la répression sera exercée vigoureusement aux éventuels trublions.
Une source policière nous informe que le dispositif mixte (police/gendarmerie) déployé la veille allait rester en place dimanche soir, avec pour objectif de stabiliser la situation et d'assurer le calme.
Alors que l'obscurité avance doucement, sous le ciel étoilé de Dakar, les habitants des Almadies, particulièrement ceux habitent aux alentours du Conseil Constitutionnel, savent à quoi s'en tenir.
"La nuit du dimanche sera chaude, vraisemblablement. J'ai acheté assez de provisions pour me barricader" fait savoir une vieille connaissance rencontrée à un jet de pierre du contesté Conseil Constitutionnel.
Depuis le début de l'après-midi du dimanche, les fourgons de la gendarmerie comme de la police vont et viennent, aux abords des immeubles et des commerces de la ville, entre autres devantures de maisons et permanences d'opposants au régime marron . Policiers en civils, à moto, discrets ou franchement inquisiteurs, limiers et pandores sont omniprésents. Et, compte tenu des menaces brandies par çi et par là par les contempteurs du régime du candidat sortant, tout porte à croire que la durée de ce quadrillage sera indéterminée.