
Brigitte Macron assigne en justice au civil, mais aussi au pénal, deux femmes ayant propagé des rumeurs transphobes à son encontre, apprend BFMTV d'une source proche du dossier et confirmant une information de l'AFP.
Après avoir été la cible à la fin de l'année de plusieurs mensonges l'accusant d'être née homme et de s'appeler "Jean-Michel Trogneux", la première dame de France avait annoncé auprès de BFMTV son intention de porter plainte en décembre.
Les deux femmes en question avaient diffusé sur un réseau social une interview dans laquelle une "médium" affirmait que Brigitte Trogneux (son nom de jeune fille) n'était en fait jamais née, et que c'était en réalité son frère qui était devenue femme en prenant le nom de Brigitte. La rumeur s'était propagée sur Twitter et avait été largement relayée par l'extrême droite sur le réseau social, où elle a fait des milliers de vues.
Une première audience a été fixée au 15 juin, rapporte l'AFP.
Après avoir été la cible à la fin de l'année de plusieurs mensonges l'accusant d'être née homme et de s'appeler "Jean-Michel Trogneux", la première dame de France avait annoncé auprès de BFMTV son intention de porter plainte en décembre.
Les deux femmes en question avaient diffusé sur un réseau social une interview dans laquelle une "médium" affirmait que Brigitte Trogneux (son nom de jeune fille) n'était en fait jamais née, et que c'était en réalité son frère qui était devenue femme en prenant le nom de Brigitte. La rumeur s'était propagée sur Twitter et avait été largement relayée par l'extrême droite sur le réseau social, où elle a fait des milliers de vues.
Une première audience a été fixée au 15 juin, rapporte l'AFP.