
23h, avant-hier mardi 24 sur la route de l’aéroport de Saré Bidji. Impossible d’apercevoir une silhouette humaine ni de moto Jakarta sur une route jadis animées toute la nuit ! Elle est déserte. Seuls quelques véhicules des services de sécurité perturbent la quiétude des habitants. Au centre-ville aussi, c’était le calme plat.
Pas de tabliers ni de véhicules ; gargotes, restaurants, bars et autres lieux de rencontres fermés. Les rares personnes surprises par la mesure sont obligées de se cacher pour échapper aux services de sécurité. Toutefois, la Police a fait une bonne moisson en arrêtant beaucoup de personnes, des voitures et motos visibles le lendemain mercredi matin au Commissariat urbain. Mais le patron des lieux n’a pas voulu faire le bilan pour les journalistes. Il préfère laisser cela à sa hiérarchie.
Désormais, il reste les mesures sur le transport interurbain qui font beaucoup jaser. A la gare routière hier, mercredi matin, beaucoup de chauffeurs se sont plaints de la rigueur de la mesure. Omar explique qu’il fallait au moins donner une possibilité de 2 jours aux chauffeurs pour leur permettre de rejoindre leurs familles. Encore que pour les régions comme Kolda, Tambacounda ou Sédhiou ne sont pas encore touchées, la mesure ne s’explique pas, fulmine notre interlocuteur. Surplace c’est un calme qui contraste d’avec l’ambiance habituelle.
Tous les tabliers et autres vendeuses ont quitté les lieux. Pas de véhicule qui sort. Il reste l’épineuse question des motos Jakarta qui assurent la circulation dans la ville, mais aussi desservent les villages. L’interdiction d’amener un client est loin d’être effective. Les jeunes conducteurs ont travaillé malgré les efforts de la Police.
sudqutidien
Pas de tabliers ni de véhicules ; gargotes, restaurants, bars et autres lieux de rencontres fermés. Les rares personnes surprises par la mesure sont obligées de se cacher pour échapper aux services de sécurité. Toutefois, la Police a fait une bonne moisson en arrêtant beaucoup de personnes, des voitures et motos visibles le lendemain mercredi matin au Commissariat urbain. Mais le patron des lieux n’a pas voulu faire le bilan pour les journalistes. Il préfère laisser cela à sa hiérarchie.
Désormais, il reste les mesures sur le transport interurbain qui font beaucoup jaser. A la gare routière hier, mercredi matin, beaucoup de chauffeurs se sont plaints de la rigueur de la mesure. Omar explique qu’il fallait au moins donner une possibilité de 2 jours aux chauffeurs pour leur permettre de rejoindre leurs familles. Encore que pour les régions comme Kolda, Tambacounda ou Sédhiou ne sont pas encore touchées, la mesure ne s’explique pas, fulmine notre interlocuteur. Surplace c’est un calme qui contraste d’avec l’ambiance habituelle.
Tous les tabliers et autres vendeuses ont quitté les lieux. Pas de véhicule qui sort. Il reste l’épineuse question des motos Jakarta qui assurent la circulation dans la ville, mais aussi desservent les villages. L’interdiction d’amener un client est loin d’être effective. Les jeunes conducteurs ont travaillé malgré les efforts de la Police.
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