À quelques semaines de la Coupe du monde de football, les médias se préparent. Mais le Qatar ne semble pas décidé à leur offrir une entière liberté. De nombreux endroits ne seront en effet pas accessibles. Il sera interdit de filmer les bâtiments gouvernementaux, les universités, les hôpitaux ou encore les propriétés résidentielles et les entreprises privées. De quoi sérieusement contraindre la captation d’images des chaînes de télévision. Des contraintes qui s’appliquent également aux photographes.
Ces derniers jours, l’Émirat s’est pourtant défendu d’imposer des règles dites paralysantes aux médias qui, de fait, ne pourront pourtant pas, dans de telles conditions, montrer le traitement des travailleurs migrants, ou faire parler les citoyens du traitement réservé aux LGBTQ +.
En effet, l’un des seuls endroits où il est possible de filmer sans contrainte, c’est dans les rues. Or, il est plus compliqué d’obtenir de forts témoignages à la vue de tous, surtout sur des sujets sensibles.
Pour tenter de montrer sa bonne foi, le Qatar a malgré tout accepté d’assouplir quelques règles. Les médias ne seront plus obligés de « reconnaître et accepter » qu’ils ne produiront pas de contenus « inappropriés ou offensant pour la culture qatarienne et les principes islamiques ».
Quant à la Fifa, elle a assuré qu’elle « travaillait avec le comité suprême et les organisations compétentes au Qatar pour garantir les meilleures conditions de travail possibles aux médias participant au tournoi, ainsi que pour garantir que les diffuseurs continuent de rapporter librement sans aucune restriction ».
Ces derniers jours, l’Émirat s’est pourtant défendu d’imposer des règles dites paralysantes aux médias qui, de fait, ne pourront pourtant pas, dans de telles conditions, montrer le traitement des travailleurs migrants, ou faire parler les citoyens du traitement réservé aux LGBTQ +.
En effet, l’un des seuls endroits où il est possible de filmer sans contrainte, c’est dans les rues. Or, il est plus compliqué d’obtenir de forts témoignages à la vue de tous, surtout sur des sujets sensibles.
Pour tenter de montrer sa bonne foi, le Qatar a malgré tout accepté d’assouplir quelques règles. Les médias ne seront plus obligés de « reconnaître et accepter » qu’ils ne produiront pas de contenus « inappropriés ou offensant pour la culture qatarienne et les principes islamiques ».
Quant à la Fifa, elle a assuré qu’elle « travaillait avec le comité suprême et les organisations compétentes au Qatar pour garantir les meilleures conditions de travail possibles aux médias participant au tournoi, ainsi que pour garantir que les diffuseurs continuent de rapporter librement sans aucune restriction ».