Une prouesse à l'actif des limiers de la Sureté Urbaine de Dakar. En effet, dakarposte a appris de ses radars fureteurs qu'un réseau de faux-monnayeurs a été démantelé.
Informés de la présence dans la capitale Sénégalaise du tandem N.S. et O. G. aux fins de laver de coupures de billets noirs, les éléments de la SU, chapeautés par le commissaire Ismaila Goudiaby, réussissent à les infiltrer avant de procéder à leur interpellation suivie de perquisitions à leurs domiciles, lesquelles ont conduit à la découverte de pas moins de 50.000 coupures de 100 dollars de faux billets.
Aux dernières nouvelles, les deux suspects poursuivis pour association de malfaiteurs , détention et tentative de mise en circulation de faux signes monétaires, placés en garde à vue, seront déférés dans les prochaines heures au niveau du parquet financier.
Inutile d'être devin pour subodorer qu'ils risquent gros.
Ce que dit la loi sur le trafic de faux billets
Les infractions relatives au délit de faux monnayage sont punies conformément à la loi 84-11 du 4 janvier 1984 abrogeant et remplaçant les articles 119 et 124 inclus du Code pénal.
Selon l'article 119 du Code pénal, "quiconque aura contrefait, falsifié ou altéré des signes monétaires ayant cours légal sur le territoire national ou à l'étranger sera puni des travaux forcés à perpétuité et d'une amende décuplée de la valeur desdits signes et au moins égale à 20 millions de francs CFA "
Si le coupable bénéficie de circonstances atténuantes, la peine ne pourra être inférieure à cinq ans de travaux forcés et à 1 million de francs d'amende, poursuit l'article 119 du Code pénal.
L'article 20 du même code dit " Quiconque aura participé à l'émission, l'utilisation, l'exposition, la distribution, l'importation ou l'exportation de signes monétaires contrefaits, falsifiés, altérés ou colorés sera puni des peines prévues aux articles ci-dessus, selon les distinctions qui y sont portées. La tentative sera punie comme l'infraction consommée ".
Informés de la présence dans la capitale Sénégalaise du tandem N.S. et O. G. aux fins de laver de coupures de billets noirs, les éléments de la SU, chapeautés par le commissaire Ismaila Goudiaby, réussissent à les infiltrer avant de procéder à leur interpellation suivie de perquisitions à leurs domiciles, lesquelles ont conduit à la découverte de pas moins de 50.000 coupures de 100 dollars de faux billets.
Aux dernières nouvelles, les deux suspects poursuivis pour association de malfaiteurs , détention et tentative de mise en circulation de faux signes monétaires, placés en garde à vue, seront déférés dans les prochaines heures au niveau du parquet financier.
Inutile d'être devin pour subodorer qu'ils risquent gros.
Ce que dit la loi sur le trafic de faux billets
Les infractions relatives au délit de faux monnayage sont punies conformément à la loi 84-11 du 4 janvier 1984 abrogeant et remplaçant les articles 119 et 124 inclus du Code pénal.
Selon l'article 119 du Code pénal, "quiconque aura contrefait, falsifié ou altéré des signes monétaires ayant cours légal sur le territoire national ou à l'étranger sera puni des travaux forcés à perpétuité et d'une amende décuplée de la valeur desdits signes et au moins égale à 20 millions de francs CFA "
Si le coupable bénéficie de circonstances atténuantes, la peine ne pourra être inférieure à cinq ans de travaux forcés et à 1 million de francs d'amende, poursuit l'article 119 du Code pénal.
L'article 20 du même code dit " Quiconque aura participé à l'émission, l'utilisation, l'exposition, la distribution, l'importation ou l'exportation de signes monétaires contrefaits, falsifiés, altérés ou colorés sera puni des peines prévues aux articles ci-dessus, selon les distinctions qui y sont portées. La tentative sera punie comme l'infraction consommée ".