En confrontation avec la partie civile, le sieur Ndiaga Guèye est accusé de vente illicite de terrain au préjudice de Madame Hann.
« J'ai vendu le terrain à 16 millions FCFA à Mme Hann. Il appartient à Babacar Diagne qui est un ami à moi et je n’ai reçu que 7 millions Fcfa de la somme », a-t-il dit au juge.
Pour sa part, la victime a déclaré avoir remis les 10 millions Fcfa à Ndiaga Guèye qui à son tour lui a restitué les 2 millions Fcfa et il restait 8 millions de FCFA.
Cherchant vainement à se défendre, le prévenu a déclaré n'avoir jamais tenté d'escroquer la dame et a évoqué une erreur sur le matricule du terrain.
« Je savais que le terrain appartenait à Babacar Diagne, mais c'est lui qui me l'a confié depuis 2012; je n'avais aucune intention de faire du mal à cette dame... », a confié le mis en cause.
Dans son réquisitoire, le procureur général a chargé Ndiaga en demandant au juge de le maintenir dans les liens de la détention pour une durée d'un an ferme.
Pour la partie civile, le mis en cause n'a pas nié les faits, il a avoué sans ambages avoir reçu l'argent de la plaignante.
Selon les conseils, le prévenu faisait de faux documents qu'il a délivré à cette dernière. Poursuivant ses propos, la robe noire a demandé au juge d'appliquer la loi avec une demande de 15 millions FCFA pour dommages et intérêts au préjudice de Mme Hann.
Quant à la défense, son client n'avait pas vérifié l'authenticité du terrain, il aurait dû faire cela, mais il a demandé au juge d’être clément à l’endroit du sieur Guèye en demandant sa relaxe, car la famille de Ndiaga a affiché son engagement à rembourser les 8 millions FCFA restants.
Au terme des plaidoiries, Ndiaga Guèye a été condamné à 6 mois de prison dont 2 mois ferme pour vente illicite de terrain et escroquerie en plus d’une amende de 12 millions de FCFA qu’il versera à la partie civile...
dakaractu
« J'ai vendu le terrain à 16 millions FCFA à Mme Hann. Il appartient à Babacar Diagne qui est un ami à moi et je n’ai reçu que 7 millions Fcfa de la somme », a-t-il dit au juge.
Pour sa part, la victime a déclaré avoir remis les 10 millions Fcfa à Ndiaga Guèye qui à son tour lui a restitué les 2 millions Fcfa et il restait 8 millions de FCFA.
Cherchant vainement à se défendre, le prévenu a déclaré n'avoir jamais tenté d'escroquer la dame et a évoqué une erreur sur le matricule du terrain.
« Je savais que le terrain appartenait à Babacar Diagne, mais c'est lui qui me l'a confié depuis 2012; je n'avais aucune intention de faire du mal à cette dame... », a confié le mis en cause.
Dans son réquisitoire, le procureur général a chargé Ndiaga en demandant au juge de le maintenir dans les liens de la détention pour une durée d'un an ferme.
Pour la partie civile, le mis en cause n'a pas nié les faits, il a avoué sans ambages avoir reçu l'argent de la plaignante.
Selon les conseils, le prévenu faisait de faux documents qu'il a délivré à cette dernière. Poursuivant ses propos, la robe noire a demandé au juge d'appliquer la loi avec une demande de 15 millions FCFA pour dommages et intérêts au préjudice de Mme Hann.
Quant à la défense, son client n'avait pas vérifié l'authenticité du terrain, il aurait dû faire cela, mais il a demandé au juge d’être clément à l’endroit du sieur Guèye en demandant sa relaxe, car la famille de Ndiaga a affiché son engagement à rembourser les 8 millions FCFA restants.
Au terme des plaidoiries, Ndiaga Guèye a été condamné à 6 mois de prison dont 2 mois ferme pour vente illicite de terrain et escroquerie en plus d’une amende de 12 millions de FCFA qu’il versera à la partie civile...
dakaractu