La Confédération pour la Démocratie et le Socialisme (CDS), a dénoncé avec la plus grande fermeté ce qu’elle qualifie de « politiques de massacre systématique des acquis sociaux, économiques et politiques » au Sénégal, intervenant alors que le monde entier commémore la journée internationale des travailleurs et les luttes historiques pour leurs droits.
Pour la CDS, ce 1er mai est loin de l’esprit festif observé dans d’autres pays. Elle souligne que les travailleurs sénégalais font face à « une remise en question sans précédent de leurs acquis depuis l’indépendance », marquée notamment par le licenciement « illégal » de plus de 30 000 agents de la fonction publique depuis l’avènement du nouveau régime.
La confédération condamne cette politique de licenciements ciblés, qu’elle perçoit comme une mesure visant les travailleurs soupçonnés d’être liés à l’ancien régime.
Elle dénonce ces pratiques « iniques, antirépublicaines et anachroniques », les comparant à des « vestiges de pratiques dictatoriales les plus sombres ».
Au-delà des pertes d’emplois massives, la CDS met en lumière d’autres aspects sombres de la situation actuelle : « la fermeture de plus de 380 organes de presse et de communication, portant atteinte à la liberté d’expression, et la rupture des filets de protection sociale, à l’instar de la suspension des bourses familiales », fragilisant davantage les populations vulnérables.
La CDS exhorte les pouvoirs publics et les syndicats à inclure « la réintégration des travailleurs injustement licenciés dans les négociations en cours pour un pacte de stabilité sociale ». Elle rend hommage aux masses laborieuses du Sénégal et du monde, exprime son soutien militant au Rassemblement des Travailleurs du Sénégal (RTS) et appelle à un « large front des travailleurs et des forces démocratiques pour l’arrêt des politiques ravageuses pour la vie et la survie » du pays.
la Confédération pour la Démocratie et le Socialisme dresse un tableau préoccupant de la situation des travailleurs au Sénégal, appelant à une mobilisation générale pour la défense des droits et des acquis sociaux menacés.
walf
Pour la CDS, ce 1er mai est loin de l’esprit festif observé dans d’autres pays. Elle souligne que les travailleurs sénégalais font face à « une remise en question sans précédent de leurs acquis depuis l’indépendance », marquée notamment par le licenciement « illégal » de plus de 30 000 agents de la fonction publique depuis l’avènement du nouveau régime.
La confédération condamne cette politique de licenciements ciblés, qu’elle perçoit comme une mesure visant les travailleurs soupçonnés d’être liés à l’ancien régime.
Elle dénonce ces pratiques « iniques, antirépublicaines et anachroniques », les comparant à des « vestiges de pratiques dictatoriales les plus sombres ».
Au-delà des pertes d’emplois massives, la CDS met en lumière d’autres aspects sombres de la situation actuelle : « la fermeture de plus de 380 organes de presse et de communication, portant atteinte à la liberté d’expression, et la rupture des filets de protection sociale, à l’instar de la suspension des bourses familiales », fragilisant davantage les populations vulnérables.
La CDS exhorte les pouvoirs publics et les syndicats à inclure « la réintégration des travailleurs injustement licenciés dans les négociations en cours pour un pacte de stabilité sociale ». Elle rend hommage aux masses laborieuses du Sénégal et du monde, exprime son soutien militant au Rassemblement des Travailleurs du Sénégal (RTS) et appelle à un « large front des travailleurs et des forces démocratiques pour l’arrêt des politiques ravageuses pour la vie et la survie » du pays.
la Confédération pour la Démocratie et le Socialisme dresse un tableau préoccupant de la situation des travailleurs au Sénégal, appelant à une mobilisation générale pour la défense des droits et des acquis sociaux menacés.
walf