Dix personnes, dont un policier, ont trouvé la mort dans une fusillade dans un supermarché de la ville américaine de Boulder, dans le Colorado, aux États-Unis.
L'attaque a entraîné l'arrivée de dizaines de membres des forces de l'ordre, dont des unités d'intervention lourdement armées et des blindés, environ une demi-heure après les premiers tirs.
La police a arrêté un suspect, mais n'a pas révélé son nom ni aucun détail sur la fusillade lors d'une conférence de presse où la chef de la police de Boulder, Maris Herold, est apparue très émue :
"Nous allons travailler jour et nuit. Nous avons un suspect en garde à vue. Je veux rassurer la communauté, elle est en sécurité et nous allons essayer de faire de notre mieux dans les prochaines heures pour identifier les victimes. Nous allons travailler avec le bureau du coroner pour le faire aussi rapidement que possible".
Les identités des victimes n'ont pas été dévoilées hormis celle du policier abattu, Eric Talley, 51 ans, qui "a été le premier à arriver" au supermarché King Soopers où des coups de feu avaient été signalés lundi en début d'après-midi, heure américaine.
C'est la septième tuerie de masse cette année aux États-Unis, après la fusillade du 16 mars qui a fait huit morts dans trois salons de massage de la région d'Atlanta, selon une base de données compilée par l'Associated Press, USA Today et l'Université Northeastern.
Les fusillades de ce type, dans les écoles, les centres commerciaux ou les lieux de culte, sont un mal récurrent des Etats-Unis et les gouvernements successifs ont été impuissants à endiguer la multiplication de ces tueries.
"Ce Sénat doit faire avancer la législation pour contribuer à stopper l'épidémie de violence par armes à feu, et il le fera", a assuré lundi soir sur Twitter le chef de la minorité démocrate au Sénat, Chuck Schumer.
Mi-février, le président Joe Biden avait appelé le Congrès à agir "maintenant" pour limiter la circulation des armes à feu aux dans le pays, trois ans après la tuerie du lycée de Parkland (17 morts), en Floride.
L'attaque a entraîné l'arrivée de dizaines de membres des forces de l'ordre, dont des unités d'intervention lourdement armées et des blindés, environ une demi-heure après les premiers tirs.
La police a arrêté un suspect, mais n'a pas révélé son nom ni aucun détail sur la fusillade lors d'une conférence de presse où la chef de la police de Boulder, Maris Herold, est apparue très émue :
"Nous allons travailler jour et nuit. Nous avons un suspect en garde à vue. Je veux rassurer la communauté, elle est en sécurité et nous allons essayer de faire de notre mieux dans les prochaines heures pour identifier les victimes. Nous allons travailler avec le bureau du coroner pour le faire aussi rapidement que possible".
Les identités des victimes n'ont pas été dévoilées hormis celle du policier abattu, Eric Talley, 51 ans, qui "a été le premier à arriver" au supermarché King Soopers où des coups de feu avaient été signalés lundi en début d'après-midi, heure américaine.
C'est la septième tuerie de masse cette année aux États-Unis, après la fusillade du 16 mars qui a fait huit morts dans trois salons de massage de la région d'Atlanta, selon une base de données compilée par l'Associated Press, USA Today et l'Université Northeastern.
Les fusillades de ce type, dans les écoles, les centres commerciaux ou les lieux de culte, sont un mal récurrent des Etats-Unis et les gouvernements successifs ont été impuissants à endiguer la multiplication de ces tueries.
"Ce Sénat doit faire avancer la législation pour contribuer à stopper l'épidémie de violence par armes à feu, et il le fera", a assuré lundi soir sur Twitter le chef de la minorité démocrate au Sénat, Chuck Schumer.
Mi-février, le président Joe Biden avait appelé le Congrès à agir "maintenant" pour limiter la circulation des armes à feu aux dans le pays, trois ans après la tuerie du lycée de Parkland (17 morts), en Floride.