
"La décision prise par le juge est de mettre Assane Diouf en liberté certes mais elle a aussi principalement pour objectif de le discréditer en le présentant aujourd'hui comme un malade mental.Le juge a décrété sa mort civile: privation de la liberté d'expression, privation du droit d'association, privation du droit de parole, privation d'avoir une opinion, interdiction d’apparaître dans une télévision ou de parler à la radio et même de paraître dans des vidéos.Ce qui est une violation de la Constitution et de toutes les conventions internationales.C'est une décision politique et nous n'allons jamais l'accepter".