
La circulation des trains sera à nouveau perturbée jeudi 13 avril, douzième journée de mobilisation convoquée par l’intersyndicale contre la réforme des retraites. La SNCF prévoit en moyenne 4 TGV sur 5, 3 TER sur 5, aucun train de nuit et seulement 1 train Intercités de jour sur 5.
« Les circulations Eurostar et Thalys seront quasi normales », a en revanche précisé le groupe ferroviaire dans un communiqué mardi soir, qui prévoit pour la région parisienne, un service « normal à quasi normal » sur le RER B, mais seulement les trois quarts des trains ou un peu moins sur les lignes de RER A, C et D ainsi que sur les lignes du Transilien N, P, H, L et R.
Trafic « quasi normal » dans le métro et le RER
En région parisienne, la RATP confirme un trafic « quasi normal » pour le métro et le RER. Seules quelques lignes de métro, non précisées, connaîtront de légères perturbations. Pour ce qui est des tramways et des bus, le trafic sera normal « sur l’ensemble du réseau ».
La mobilisation avait déjà marqué le pas lors de la précédente journée de mobilisation, le 6 avril, avec de légères perturbations. Quelque 570 000 personnes avaient défilé ce jour-là dans le pays, selon le ministère de l’intérieur, contre 740 000 le 28 mars. « Près de deux millions de travailleurs, travailleuses, jeunes et retraités, mobilisés dans le calme et la détermination », selon les syndicats.
20 % de vols en moins par Nantes, Bordeaux et Toulouse
En ce qui concerne les avions, la direction générale de l’aviation civile demande aux compagnies aériennes de renoncer à 20 % de leurs vols jeudi dans les aéroports de Nantes, Bordeaux et Toulouse. En région parisienne, les aéroports franciliens d’Orly et de Roissy, les deux plus fréquentés de France, ne sont pas affectés par les conséquences de la participation des contrôleurs aériens au mouvement, selon le communiqué diffusé mardi soir par la DGAC.
L’ampleur de ces annulations préventives se révèle légèrement inférieure à celles du 6 avril, quand quatre plates-formes de région avaient été touchées. Ces suppressions d’une partie des programmes de vols au départ et à l’arrivée permettent de les mettre en adéquation avec le nombre de contrôleurs aériens à leur poste et donc d’éviter des perturbations encore plus importantes.
En dépit de ces mesures, « des perturbations et des retards sont néanmoins à prévoir » jeudi, a souligné la DGAC dans son communiqué. Outre les aéroports, des perturbations pourront concerner certains centres en route de la navigation aérienne (CRNA), qui guident les avions survolant le territoire national.
Etant donné la position géographique de la France, ces grèves ont des effets en cascade sur l’ensemble du trafic aérien européen, ce qui hérisse de nombreux transporteurs étrangers contraints d’annuler ou de retarder des vols.
« Les circulations Eurostar et Thalys seront quasi normales », a en revanche précisé le groupe ferroviaire dans un communiqué mardi soir, qui prévoit pour la région parisienne, un service « normal à quasi normal » sur le RER B, mais seulement les trois quarts des trains ou un peu moins sur les lignes de RER A, C et D ainsi que sur les lignes du Transilien N, P, H, L et R.
Trafic « quasi normal » dans le métro et le RER
En région parisienne, la RATP confirme un trafic « quasi normal » pour le métro et le RER. Seules quelques lignes de métro, non précisées, connaîtront de légères perturbations. Pour ce qui est des tramways et des bus, le trafic sera normal « sur l’ensemble du réseau ».
La mobilisation avait déjà marqué le pas lors de la précédente journée de mobilisation, le 6 avril, avec de légères perturbations. Quelque 570 000 personnes avaient défilé ce jour-là dans le pays, selon le ministère de l’intérieur, contre 740 000 le 28 mars. « Près de deux millions de travailleurs, travailleuses, jeunes et retraités, mobilisés dans le calme et la détermination », selon les syndicats.
20 % de vols en moins par Nantes, Bordeaux et Toulouse
En ce qui concerne les avions, la direction générale de l’aviation civile demande aux compagnies aériennes de renoncer à 20 % de leurs vols jeudi dans les aéroports de Nantes, Bordeaux et Toulouse. En région parisienne, les aéroports franciliens d’Orly et de Roissy, les deux plus fréquentés de France, ne sont pas affectés par les conséquences de la participation des contrôleurs aériens au mouvement, selon le communiqué diffusé mardi soir par la DGAC.
L’ampleur de ces annulations préventives se révèle légèrement inférieure à celles du 6 avril, quand quatre plates-formes de région avaient été touchées. Ces suppressions d’une partie des programmes de vols au départ et à l’arrivée permettent de les mettre en adéquation avec le nombre de contrôleurs aériens à leur poste et donc d’éviter des perturbations encore plus importantes.
En dépit de ces mesures, « des perturbations et des retards sont néanmoins à prévoir » jeudi, a souligné la DGAC dans son communiqué. Outre les aéroports, des perturbations pourront concerner certains centres en route de la navigation aérienne (CRNA), qui guident les avions survolant le territoire national.
Etant donné la position géographique de la France, ces grèves ont des effets en cascade sur l’ensemble du trafic aérien européen, ce qui hérisse de nombreux transporteurs étrangers contraints d’annuler ou de retarder des vols.