
L'Allemagne condamne les "frappes inhumaines" sur Kyiv alors que le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres se trouvait dans la capitale ukrainienne, a déclaré un porte-parole du gouvernement.
"Cela révèle une fois de plus aux yeux de la communauté internationale que (Vladimir) Poutine et son régime n'ont aucun respect pour le droit international", a dénoncé lors d'un point-presse régulier ce porte-parole, Wolfgang Büchner.
Dans la foulée, le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian a condamné les "frappes indiscriminées" des forces russes sur Kiev survenues jeudi alors que le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres se trouvait dans la capitale ukrainienne.
"Pleine solidarité avec le peuple ukrainien, ainsi qu'avec @antonioguterres et @KirilPetkov (Premier ministre bulgare, ndlr) qui se trouvaient à proximité hier", a déclaré le ministre français des Affaires étrangères sur son compte Twitter.
Au moins une personne a été tuée dans une frappe russe contre Kiev jeudi, pendant la visite dans la capitale ukrainienne du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, a indiqué le maire Vitaly Klitschko sur Telegram.
Les secouristes "ont retrouvé un corps" en déblayant les débris sur le site touché, près du centre-ville, a-t-il ajouté. Quatre blessés ont été hospitalisées, a-t-il indiqué dans un message séparé précisant qu'au total, plus de 100 habitants de Kiev avaient été tués depuis le début de l'invasion russe il y a deux mois.
La Russie a confirmé avoir effectué la veille une frappe avec des armes de "haute précision" contre Kyiv, la capitale ukrainienne, en pleine visite du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.
"Les forces russes ont détruit avec des armes de haute précision de longue portée les ateliers de l'entreprise spatiale dans la ville de Kiev", a indiqué le ministère russe de la Défense, lors d'un briefing.
Une "opération" d'évacuation des civils terrés dans l'usine d'Azovstal assiégée par les troupes russes à Marioupol, dans le sud-est de l'Ukraine, est "envisagée" pour vendredi, a annoncé la présidence ukrainienne.
Des centaines de militaires et de civils ukrainiens dont des dizaines d'enfants sont bloqués, selon Kyiv, dans cette immense aciérie d'Azovstal à Marioupol, avec les derniers combattants ukrainiens de la ville, presque entièrement détruite et contrôlée par les forces russes après des semaines de siège.
Un commandant des militaires ukrainiens retranchés à Azovstal, Serguiï Volynsky avait indiqué jeudi qu'une bombe russe est tombée sur l'hôpital de campagne souterrain mis en place sur le site par les Ukrainiens.
"Toute l'infrastructure médicale, la salle d'opération ont été anéanties. Beaucoup de nos gars ont été tués sur le coup. Beaucoup de blessés ont reçu de nouvelles blessures. La situation devient encore plus critique", a-t-il déclaré dans une interview au site ukrainien Levy Bereg.
La coordinatrice de l'ONU en Ukraine, Osnat Lubrani, avait annoncé jeudi qu'elle partait dans le sud du pays préparer une tentative d'évacuation de Marioupol.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, en visite à Kiev jeudi, a assuré de son côté que l'organisation faisait "tout son possible" pour évacuer les civils coincés dans "l'apocalypse" de Marioupol, qui comptait un demi-million de personnes avant l'invasion russe lancée fin février.
"Cela révèle une fois de plus aux yeux de la communauté internationale que (Vladimir) Poutine et son régime n'ont aucun respect pour le droit international", a dénoncé lors d'un point-presse régulier ce porte-parole, Wolfgang Büchner.
Dans la foulée, le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian a condamné les "frappes indiscriminées" des forces russes sur Kiev survenues jeudi alors que le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres se trouvait dans la capitale ukrainienne.
"Pleine solidarité avec le peuple ukrainien, ainsi qu'avec @antonioguterres et @KirilPetkov (Premier ministre bulgare, ndlr) qui se trouvaient à proximité hier", a déclaré le ministre français des Affaires étrangères sur son compte Twitter.
Au moins une personne a été tuée dans une frappe russe contre Kiev jeudi, pendant la visite dans la capitale ukrainienne du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, a indiqué le maire Vitaly Klitschko sur Telegram.
Les secouristes "ont retrouvé un corps" en déblayant les débris sur le site touché, près du centre-ville, a-t-il ajouté. Quatre blessés ont été hospitalisées, a-t-il indiqué dans un message séparé précisant qu'au total, plus de 100 habitants de Kiev avaient été tués depuis le début de l'invasion russe il y a deux mois.
La Russie a confirmé avoir effectué la veille une frappe avec des armes de "haute précision" contre Kyiv, la capitale ukrainienne, en pleine visite du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.
"Les forces russes ont détruit avec des armes de haute précision de longue portée les ateliers de l'entreprise spatiale dans la ville de Kiev", a indiqué le ministère russe de la Défense, lors d'un briefing.
Une "opération" d'évacuation des civils terrés dans l'usine d'Azovstal assiégée par les troupes russes à Marioupol, dans le sud-est de l'Ukraine, est "envisagée" pour vendredi, a annoncé la présidence ukrainienne.
Des centaines de militaires et de civils ukrainiens dont des dizaines d'enfants sont bloqués, selon Kyiv, dans cette immense aciérie d'Azovstal à Marioupol, avec les derniers combattants ukrainiens de la ville, presque entièrement détruite et contrôlée par les forces russes après des semaines de siège.
Un commandant des militaires ukrainiens retranchés à Azovstal, Serguiï Volynsky avait indiqué jeudi qu'une bombe russe est tombée sur l'hôpital de campagne souterrain mis en place sur le site par les Ukrainiens.
"Toute l'infrastructure médicale, la salle d'opération ont été anéanties. Beaucoup de nos gars ont été tués sur le coup. Beaucoup de blessés ont reçu de nouvelles blessures. La situation devient encore plus critique", a-t-il déclaré dans une interview au site ukrainien Levy Bereg.
La coordinatrice de l'ONU en Ukraine, Osnat Lubrani, avait annoncé jeudi qu'elle partait dans le sud du pays préparer une tentative d'évacuation de Marioupol.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, en visite à Kiev jeudi, a assuré de son côté que l'organisation faisait "tout son possible" pour évacuer les civils coincés dans "l'apocalypse" de Marioupol, qui comptait un demi-million de personnes avant l'invasion russe lancée fin février.