
C’est l’horreur à Galoya où les hommes en bleu de Pété viennent de réussir la prouesse de cerner l’affaire en quelques heures. Les gendarmes de la brigade de Pété ont, en effet, mis la main sur le présumé meurtrier qu’ils n’ont eu aucun mal à faire avouer son forfait. Auparavant, la victime, D. S, née en 1984, avant de succomber à ses blessures, avait été déposée, avec une voiture, par des inconnus au centre de santé de Galoya. Arrivé dans un état piteux, il avait des ecchymoses sur tout le corps. Sur place, ils ont trouvé un Agent de sécurité de proximité (Asp) et deux infirmiers de garde. C’était vers les coups de 3 heures du matin. Sitôt le corps déposé, les inconnus qui accompagnaient la victime sont repartis. Sur ces entrefaites, les infirmiers de garde ont saisi le médecin-chef qu’ils ont réveillé de son sommeil. Ce dernier a rappliqué dare dare pour s’enquérir de la situation. Après constat, il a jugé nécessaire, vu l’état de la victime, de l’évacuer à l’hôpital de Ourossogui, disant d’une centaine de kilomètres. Malheureusement, en cours d’évacuation, la victime a rendu l’âme.
Alpagué et mis devant le fait accompli, M. S, âgé de 20 ans, n’avait d’autre choix que de cracher le morceau. D’autant que, auparavant, il avait eu un violent accrochage avec la personne décédée. D’ailleurs, tout plaidait contre lui : un comportement suspect, des blessures, des habits tachetés de sang et un couteau balancé en plein interrogatoire et qui, visiblement, a servi à commettre le meurtre. S’y ajoute que le suspect aurait donné aux enquêteurs le nom exact de la victime. Avec tous ces éléments à charge en leur possession, le suspect, dos au mur, a avoué son crime. Et les pandores n’avaient d’autre choix que de le mettre en position en garde à vue, avant un éventuel déferrement devant le procureur de la République de Saint-Louis qui se chargera de décider de son sort.
Cette affaire met en exergue le professionnaliste des gendarmes de Pété qui, nuit et jour, dans les marchés et les loumas, sont à la trousse des malfrats qu’ils traquent sans répit.
Walf
Alpagué et mis devant le fait accompli, M. S, âgé de 20 ans, n’avait d’autre choix que de cracher le morceau. D’autant que, auparavant, il avait eu un violent accrochage avec la personne décédée. D’ailleurs, tout plaidait contre lui : un comportement suspect, des blessures, des habits tachetés de sang et un couteau balancé en plein interrogatoire et qui, visiblement, a servi à commettre le meurtre. S’y ajoute que le suspect aurait donné aux enquêteurs le nom exact de la victime. Avec tous ces éléments à charge en leur possession, le suspect, dos au mur, a avoué son crime. Et les pandores n’avaient d’autre choix que de le mettre en position en garde à vue, avant un éventuel déferrement devant le procureur de la République de Saint-Louis qui se chargera de décider de son sort.
Cette affaire met en exergue le professionnaliste des gendarmes de Pété qui, nuit et jour, dans les marchés et les loumas, sont à la trousse des malfrats qu’ils traquent sans répit.
Walf