Le procureur vise un long chapelet de griefs : appel à l’insurrection et à la violence, offense au chef de l’État, atteinte à la sûreté de l’État, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, propagande de nature à inciter les citoyens à enfreindre les lois du pays, insultes par le biais d’un système informatique et injures publiques.
Assane Diouf a été arrêté samedi dernier par la DIC. Il lui est reproché une vidéo où il insulte le chef de l’État et invite les jeunes à aller le déloger du palais. Face aux enquêteurs, le mis en cause a assuré que la vidéo incriminée est ancienne et lui a déjà valu une inculpation. En plus, il avait annoncé une plainte contre la personne qui l’aurait remise au goût du jour.
À la suite de cette première audition, les policiers lui ont présenté six autres vidéos où il tient quasiment les mêmes propos. Parmi celles-ci, une date d’avril 2023. Assane Diouf avait gardé le silence lorsqu’il a été interrogé sur ces vidéos.
igfm
Assane Diouf a été arrêté samedi dernier par la DIC. Il lui est reproché une vidéo où il insulte le chef de l’État et invite les jeunes à aller le déloger du palais. Face aux enquêteurs, le mis en cause a assuré que la vidéo incriminée est ancienne et lui a déjà valu une inculpation. En plus, il avait annoncé une plainte contre la personne qui l’aurait remise au goût du jour.
À la suite de cette première audition, les policiers lui ont présenté six autres vidéos où il tient quasiment les mêmes propos. Parmi celles-ci, une date d’avril 2023. Assane Diouf avait gardé le silence lorsqu’il a été interrogé sur ces vidéos.
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