
Les fortes pluies qui se sont abattues sur Dakar et ses environs ces derniers jours ont créé beaucoup de dégâts. Les inondations ont causé des débordements de canaux et d’égouts de ruissellement des eaux de pluies. Si bien qu’il y a même eu mort d’homme avec le décès de trois jeunes.
Mais ,la faute est à qui ? D’abord les populations qui manquent de civisme et qui bouchent les canalisations en y déversant des ordures, mais aussi quelques autorités qui ne contrôlent plus rien (pour ne pas dire véreux) et qui donnent des autorisations de construire sur des zones non aedificandi.
Cette situation ne date pas d’aujourd’hui. Tous les gouvernements qui se sont succédés dans notre pays depuis Abdou Samba Tooro Diouf n’ont rien fait pour éviter que les inondations débouchent sur des catastrophes.
Les autorités ont beau donné des assurances, promis de trouver des solutions, dépensé des milliards de nos pauvres francs dévalués mais rien n’y fait.
Les inondations embarrassent les Sénégalais de plus belle et freinent les activités de tout le monde : les transporteurs, les travailleurs qui doivent se rendre à leur lieu de travail, les marchands ambulants et tous ceux qui ne trouvent leur dépense quotidienne que grâce à leurs activités au jour le jour.
La faute à qui ? Nos langues au chat.
clounjay@yahoo.fr
Mais ,la faute est à qui ? D’abord les populations qui manquent de civisme et qui bouchent les canalisations en y déversant des ordures, mais aussi quelques autorités qui ne contrôlent plus rien (pour ne pas dire véreux) et qui donnent des autorisations de construire sur des zones non aedificandi.
Cette situation ne date pas d’aujourd’hui. Tous les gouvernements qui se sont succédés dans notre pays depuis Abdou Samba Tooro Diouf n’ont rien fait pour éviter que les inondations débouchent sur des catastrophes.
Les autorités ont beau donné des assurances, promis de trouver des solutions, dépensé des milliards de nos pauvres francs dévalués mais rien n’y fait.
Les inondations embarrassent les Sénégalais de plus belle et freinent les activités de tout le monde : les transporteurs, les travailleurs qui doivent se rendre à leur lieu de travail, les marchands ambulants et tous ceux qui ne trouvent leur dépense quotidienne que grâce à leurs activités au jour le jour.
La faute à qui ? Nos langues au chat.
clounjay@yahoo.fr