
242 migrants ont été secours dans la nuit de samedi à dimanche par les garde-côtes italiens autour de l'île de Lampedusa.
Issus d'Afrique subsaharienne, du Bangladesh, d'Egypte, ou encore de Syrie, certains sont partis de Libye, d'autres de Tunisie ; les autorités italiennes ont fait état de cinq navires.
Ils ont été conduits au centre d'accueil de Contrada Imbriacola, géré par la Croix-Rouge italienne, et ont embarqué vers d'autres régions d'Italie.
Depuis le début de l'année, plus de 55 000 personnes ont débarqué illégalement en Italie, dont plus de 7 000 en provenance de Côte d'Ivoire et d'Égypte, plus de 6 000 de Guinée et plus de 5 000 du Pakistan et du Bangladesh.
Certains n'ont pas la chance d'arriver à bon port, ce fut le cas de migrants dont le navire a chaviré dans la nuit de mardi à mercredi au large des côtes grecques, faisant au moins 78 victimes et des centaines de disparus.
Issus d'Afrique subsaharienne, du Bangladesh, d'Egypte, ou encore de Syrie, certains sont partis de Libye, d'autres de Tunisie ; les autorités italiennes ont fait état de cinq navires.
Ils ont été conduits au centre d'accueil de Contrada Imbriacola, géré par la Croix-Rouge italienne, et ont embarqué vers d'autres régions d'Italie.
Depuis le début de l'année, plus de 55 000 personnes ont débarqué illégalement en Italie, dont plus de 7 000 en provenance de Côte d'Ivoire et d'Égypte, plus de 6 000 de Guinée et plus de 5 000 du Pakistan et du Bangladesh.
Certains n'ont pas la chance d'arriver à bon port, ce fut le cas de migrants dont le navire a chaviré dans la nuit de mardi à mercredi au large des côtes grecques, faisant au moins 78 victimes et des centaines de disparus.